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Le Monde de Dùralas


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 [Officiel]Le Panthéon noir

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MessageSujet: [Officiel]Le Panthéon noir   [Officiel]Le Panthéon noir EmptyJeu 24 Sep 2015 - 21:53
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Histoire des démons


Partie I : Histoire des démons

Aujourd’hui, le monde de Dùralas est prospère, mais il n’en fut pas toujours ainsi. Il y a des temps immémoriaux, du temps où les mortels humains n’arpentaient même pas ce monde, celui-ci était peuplé de créatures abjectes, tyrannisant les rares êtres vivants qui tentaient de survivre sous leur joug. Cette race, méconnue à présent, est celle des démons. Pendant longtemps pourtant, ils ont régné sur Dùralas, mais aucune race n’en garde la moindre trace, tant ils veulent ne plus entendre parler d’eux. Prononcer leur nom est un blasphème, y penser, une hérésie.

Ils ont dominé, détruisant peu à peu le monde pour le faire leur, pour l’adapter à leurs besoins. Ils dressèrent des temples au-delà de la banquise, où étaient vénérés leurs seigneurs. L’air résonnait des coups de fouet des démons majeurs sur leurs esclaves, ou sur les démons mineurs. Le ciel avait une teinte rouge perpétuelle au-dessus de leur domaine, et l’air était chargé de souffre.

Les démons étaient en guerre éternelle contre les anges, et leur combat déchirait le ciel en permanence. Une armée de démons en marche est un spectacle à la fois impressionnant et horrible à contempler, des cornes de guerre taillées dans des os accompagnent leur marche puissante, des créatures de toutes tailles, de toutes couleurs, de toutes corpulences, marchent côte à côte pour écraser leurs ennemis. Si le nord était leur domaine incontesté, le sud était celui des anges.

Les démons ont une sorte de hiérarchie, basée sur la puissance, et au sommet de laquelle trônent les cinq seigneurs démons. Chaque démon est nécessairement né de l’une de ces entités et y reste affilié. Il hérite ses traits de caractère d’elle et son corps arbore un aspect généralement semblable à celui de son géniteur, malgré quelques différences nécessaires bien sûr. C’est ainsi que les démons régnèrent sur le nord de Dùralas pendant de longs siècles, pendant lesquels les anges se firent sans cesse repousser vers leur capitale, jusqu’à ne former qu’un dernier carré.

L’avènement des démons prit fin brutalement. Comme s’ils avaient reçu une aide divine, les anges repoussèrent les créatures maléfiques de plus en plus. Il s’avéra que cette aide venait des dragons. Ils avaient trouvé un moyen de purger le monde de ce fléau, une dimension parallèle, où ils expédiaient les démons, mettant en déroute leur armée. Ils étaient impuissants à résister, chaque démon, où qu’il se cache, fut traqué par les séraphins, et envoyé sur l’autre monde. Finalement, les séraphins arrivèrent au pied de la citadelle noire où s’étaient retranchés les derniers démons ainsi que leurs cinq maitres. Les démons furent tous bannis, jusqu’au dernier, après une âpre lutte sans merci sous la citadelle noire.

Depuis, ils ne peuvent qu’observer le monde depuis le leur. Ils se développent, mais ne peuvent briser la trame de la réalité qui les sépare de Dùralas. Les seigneurs démons sont ancrés dans cette réalité alternative, incapables d’en sortir, malgré leurs considérables pouvoirs. Pourtant, ils ont trouvé le moyen de se délecter du monde des mortels, voire de l’influencer, et quand ils ne se battent pas entre eux, ils passent beaucoup de temps à observer ce monde qu’ils souhaitent voir sombrer dans le chaos et l’anarchie.

La barrière entre les mondes est puissante, mais peut être affaiblie, et derrière, c’est une armée de créatures de cauchemar qui attendent leur heure. Ils regardent le monde, à travers des sortes de miroirs, et tentent sans cesse de le faire basculer dans le chaos, même si bien souvent cela reste un coup d’épée dans l’eau.

Partie II : Le Pandémonium

Alors que les démons marchaient unis sur Dùralas, leur enfermement les déchira, et une guerre sans fin se déclencha entre quatre seigneurs. Ainsi, le pandémonium est divisé en quatre parties, plus une cinquième, inoccupée, et gigantesque. Tout le ciel est rouge, et le sol est mort, fissuré à de nombreux endroits. Le vent ne souffle jamais, et aucun animal autre que les démons n’y vit.
La partie de Balrath, le seigneur de la destruction, est un culte à la barbarie, et le lieu n’est que gouffres enflammés, rivières de sang, et arènes de combat. C’est une forteresse imprenable, avec des murs épais et de larges portes de fer. Le fracas des armes résonne entre les sonneries de cors de guerre. Des ossements sont disséminés partout, et sur les pointes des remparts se trouvent les têtes prises par l’armée de la destruction. Balrath élève des sortes de démons chiens de guerre, destinés à être chevauchés par les démons assez fous pour les approcher. Balrath est au contre, assis sur son trône d’obsidienne, contenant sa colère comme il peut.
La partie de Kernal, seigneur de la mort, est une vaste propriété, dotée d’un grand jardin. Mais ce jardin est presque comme une jungle, avec des plantes carnivores, toxiques. Des mouches géantes ou encore des frelons dont la piqure est mortelle côtoient les démons purulents pour défendre le lieu. Au centre se trouve la demeure de Kernal, où personne ne va jamais à part lui. Même si quelqu’un arrivait jusqu’à lui, personne ne pourrait le tuer, car les lames rouillent et tombent en poussière à proximité alors que la chair pourrit immédiatement.
Le domaine de Lassya, la maîtresse de la luxure, est un palais, où chaque pièce renferme un piège mortel. Des succubes et des incubes dénudés arpentent les couloirs et attendent dans des pièces closes, sur des lits rembourrés. Une odeur suave qui embrume l’esprit flotte dans l’air. Des tables de banquet sont dressées, mais quiconque en mange ne peut plus s’arrêter jusqu’à exploser. Et même ceux qui arrivent jusqu’à la maîtresse des lieux sans encombre ne pourront que succomber devant son indicible beauté.
Le domaine de Zylaxa est un labyrinthe, un dédale au centre duquel se trouve une bibliothèque. Rien n’est normal ici, les murs changent sans cesse de place, la tour également. Parfois elle est haute comme un immeuble de cent étages, l’instant d’après c’est à peine si elle dépasse dix mètres. Des courants magiques se font sentir, entrainant des mutations aléatoires, et des voix familières à celui qui les entend murmurent des choses insensées.
Ces quatre domaines forment le pandémonium. Shatra étant absent du pandémonium, ses séides errent dans la zone entourant les quatre domaines, tentant de survivre.

Partie III : Les cinq seigneurs démons.

Balrath, seigneur de la destruction.

Apparence:

Balrath est un dieu sanguinaire, colérique, et possédant un pouvoir de destruction hors du commun. Il peut revêtir une forme humaine, comme tous les autres seigneurs, mais n’y a jamais recours. Il manie une faux titanesque à la lame incandescente, et le moindre coup de faux soulève le sol et les corps, détruit des villages, et tue des mortels. Il est celui qui supporte le moins l’enfermement dans le monde parallèle, et souvent de fois il a tenté de sortir de son plan pour investir à nouveau Dùralas.
Son corps noir est musculeux et impressionnant, c’est aussi le plus grand des seigneurs démons. Sa bouche exhale des flammes lorsqu’il parle, ou plutôt lorsqu’il grogne, car le moindre de ses mots résonne comme un millier de roulements de tonnerre. Ses enfants, en forme démoniaque, ont le même aspect bestial, musculeux, et agressif. Leur forme humaine peut être plus chétive, mais arbore souvent des griffes, ou des cornes incandescentes. Leur pouvoir de destruction n’est pas à négliger, surtout pour les démons majeurs, les démons mineurs utilisant des lames incandescentes.

Kernal, seigneur de la mort.

Apparence:

Kernal est le plus pragmatique et réservé des seigneurs démons. Il est aussi le moins cruel, voir le plus généreux envers les humains. Il n’a pas de volonté de conquête, et se contente de s’occuper de ses enfants. Qui plus est, sa conquête se fait seule, car chaque personne qui meurt peut être un potentiel ajout à son armée morte-vivante. Il arbore le plus souvent sa forme humaine, qui est aussi proche d’un cadavre en décomposition qu’un homme vivant. Il est chétif et frêle, mais pas fragile, car toute chose qui l’approche meurt, se décompose. Kernal parle peu, même à ses conseillers, et passe son temps à observer les mortels craindre l’inéluctable mort qu’il représente.

Ses sbires, majeurs comme mineurs, sont des créatures bouffies, arborant des plaies suppurantes, accompagnées de mouches et de larves. Quand son armée marche, c’est comme si un tas de cadavres maniant des lames rouillées s’était mis en mouvement au rythme creux de la nécromancie.

Lassya, maîtresse de la luxure.

Apparence:

Lassya a préféré le titre de maîtresse plutôt que celui de seigneur. C’est une femme d’une indicible beauté, et quiconque pose les yeux sur elle est instantanément charmé par ses formes harmonieuses, tentatrices, sensuelles, et ce peu importe son sexe et son orientation sexuelle. Elle prend un malin plaisir à voir les mortels succomber à leurs passions les plus déviantes, et tente toujours de les encourager en ce sens. Ses séides, des succubes et des incubes, sont là pour réaliser ses souhaits, et elle en envoie souvent tenter les mortels. Tout péché lui convient, même si elle préfère la luxure.

Ses séides sont des hommes et des femmes aux corps indéniablement beaux, d’autant qu’ils apparaissent aux mortels sous un jour que désire voir leur interlocuteur. Ils sont cependant perfides et ne servent que leur maîtresse, et tuer leur partenaire du soir, que ce soit en l’épuisant ou en drainant sa force vitale, est leur lot quotidien.

Zylaxa, seigneur de la tromperie.

Apparence:

Nul ne connaît le vrai visage de Zylaxa, car il (ou elle) est capable de prendre la forme de n’importe qui. Il manipule également la magie du chaos et s’en sert volontiers sur ses sbires pour créer d’autres créatures toujours plus instables. C’est un fou à proprement parler, vivant reclus dans sa tour magique, il échafaude des plans tous plus tordus les uns que les autres, se recoupant sans cesse, pour au final n’aboutir à rien. Il a également trouvé le moyen de parler aux mortels depuis le plan démoniaque, pour s’amuser à les rendre fous, ou les pousser à réaliser ses plans.

Ses sbires lui ressemblent, ils sont informes, certains ont des plumes, d’autres des écailles, certains des becs. C’est un mélange de tout et n’importe quoi, mais ces créatures en apparence ridicules peuvent elles aussi manier la magie du chaos, ce qui en fait de redoutables adversaires.

Shatra, seigneur des ombres.

Apparence:

On ne sait que peu de choses sur Shatra, hormis qu’il n’a jamais été retrouvé sur le plan démoniaque. Ses sbires sont perdus sans lui sur ce plan, et tentent de résister aux autres forces comme ils peuvent. Son corps est fait d’ombre, aussi aucune blessure physique ne peut le toucher. C’était également le plus puissant mage de tous les seigneurs, et le plus redoutable par son intelligence. Sa forme humaine n’était pas moins impressionnante, toujours suivie d’un linceul d’ombres en guise de cape. On dit qu’il aurait lui aussi échappé au bannissement en s’enfermant dans un objet, abandonnant son corps pour conserver son essence immortelle sur le plan physique.

Ses démons sont, comme lui, faits de ténèbres qu’ils contrôlent à leur guise. Tous intelligents, leur force physique est déplorable cependant. Nombre d’entre eux sont devenus des corrompus, attendant d’être libérés par des mortels en quête de pouvoir. Le restant survit sur le pandémonium.

Partie IV : La possession démoniaque.

Les démons sont ancrés dans le pandémonium, incapables d’en sortir. Pourtant, ils ont trouvé le moyen de profiter des affaiblissements temporaires de la barrière entre les mondes pour s’y introduire. En général, un passage physique reste impossible, seul l’esprit et l’essence du démon, peuvent y filtrer. Lorsque l’esprit d’un démon traverse la barrière, il doit trouver refuge quelque part, sous peine d’être aspiré de nouveau dans le pandémonium. En général, le démon cherche à entrer dans un humain, et on parle alors de possession démoniaque.

Lorsque l’esprit d’un démon investit un corps humain, il tente d’en prendre le contrôle, soit délicatement, soit brutalement, pour que finalement il obtienne une forme physique ancrée dans la réalité.

Lorsque la possession est brutale, le démon tente de prendre immédiatement le contrôle, et donc veut détruire l’esprit de l’humain. Cependant, les humains avec suffisamment de volonté peuvent éviter ce processus, et alors c’est le démon qui se retrouve détruit. Si le démon l’emporte, il peut ensuite se servir de son essence démoniaque pour adapter le corps à ses besoins personnels, faisant par exemple jaillir des cornes, pousser des crocs, ou encore gonfler la musculature.

La possession douce est plus insidieuse, mais est longue à mettre en œuvre. En implantant de fausses pensées dans l’esprit de sa victime, le démon va peu à peu, imperceptiblement, faire basculer son hôte vers un état d’esprit plus proche du sien. Par exemple, une personne possédée par un démon de Balrath aura des réactions plus violentes, et aura souvent recours à la force pour régler ses problèmes, même s’il n’est pas comme ça au départ. L’hôte ne se rend compte de rien, et lorsqu’on le met devant le fait accompli, par exemple lorsque son compagnon conjugal va lui faire la remarque, son esprit sera déchiré, partagé entre l’impression qu’il a toujours agi ainsi, et le fait qu’il ait effectivement changé. Le démon profite alors de cette tourmente pour prendre le corps.

Une fois installé dans le corps, le démon cherchera à réaliser les plans de son maître, instaurer un culte ou encore semer le chaos pour le bon plaisir de son maître.

Partie V : les démons corrompus.

Lorsque le bannissement des démons a eu lieu, certains ont trouvé un moyen d’esquiver leur sort en enfermant volontairement leur essence dans un objet, se cachant dans un lieu reculé pour ne pas être découverts. Ces objets sont communs, une épée, une bague, une gemme, le genre de chose que des mortels pourraient chercher à porter. Une fois le contact établi, le démon cherche à prendre contrôle de son hôte, comme pour une possession démoniaque. La seule différence est que si le démon est repoussé, il ne meurt pas, et retourne dans l’objet qui le contient, la même chose se produit si le corps de son hôte est détruit, ou si le contact avec l’objet est rompu d’une distance trop grande.

Lorsqu’un démon corrompu est repoussé, on parle de soumission, car celui-ci est contraint à regarder uniquement, alors que le mortel reste maître de son corps. Libre à lui alors de jeter l’objet (car les détruire est au-delà de tout moyen physique) ou encore de le garder pour jouir de tout le pouvoir du démon. Ces derniers deviennent alors des corrompus. Certains laissent peu voir aucune liberté au démon, d’autres les laissent parler. Le fait est que le démon reste un démon, et qu’il saura profiter de la faiblesse de son hôte pour retenter sa chance, lorsqu’il sera trop affaibli pour résister.

Partie VI : Les cultes.

Bien que pour beaucoup, les démons sont des créatures à éviter à tout prix, certains essaient de les utiliser pour leur propre compte, ou les prient pour qu’ils exaucent leurs souhaits que les dieux leur refusent. Parfois, ils forment des cultes voués à la gloire des démons, et ces manifestations secrètes ont tendance à fragiliser le voile entre les mondes là où elles ont lieu.

Le culte à Balrath :
Ceux qui vénèrent Balrath sont soit des psychopathes, soit des soldats désemparés devant une tâche impossible. Balrath exige un tribut en sang aberrant, et ne tolère pas la faiblesse. Ceci étant, il n’écoute que peu les suppliques des mortels, qu’il juge trop faibles.
Ses cultistes se scarifient en son nom, tuent, brûlent, mutilent, tout ça pour le bon plaisir d’une divinité qui ne daigne pas poser un œil sur eux.

Le culte à Kernal :
Personne ne vénère Kernal, hormis les malades et les mourants qui prient pour se rétablir où vivre seulement un peu plus longtemps. Kernal, dans sa grande générosité, leur accorde une vie supplémentaire en tant que zombi ou mort-vivant. Il est amusé de voir à quel point les mortels sont désespérés devant la mort, et se joue d’eux autant que faire se peut.

Le culte à Lassya :
C’est le culte le plus répandu chez la plèbe, un culte qui vise à tester les limites de ses sens, et pousser à l’extrême le moindre désir. Ses cultistes se vouent souvent à des orgies, ou autres actes inqualifiables. Souvent, ils offrent l’un des leurs pour une possession par un démon de Lassya. L’élu est plus qu’heureux d’offrir son corps à la créature, et après un long rituel, un démon entre dans le corps. Après de longues minutes de hurlements extatiques, le mortel lâche prise, et le démon remodèle son corps pour en accentuer la sensualité. C’est ainsi qu’on rencontre des succubes et des incubes en Dùralas.

Le culte à Zylaxa :
Ceux qui vénèrent Zylaxa sont généralement des personnes d’esprit, qui veulent tout savoir, ou des personnes voulant piéger quelqu’un dans leur propre intérêt. Généralement, Zylaxa répond, mais n’exauce jamais correctement la volonté du demandeur, utilisant la moindre faille pour retourner la situation. Il aime rendre les gens fous, et ne se prive pas.

Le culte à Shatra :
Il n’existe aucun culte à Shatra connu.

Le culte de Kalumbra :
Ce culte a fait sécession avec les démons, mais c’est bien le pouvoir du pandémonium qui alimente la forêt de Kalumbra. Il est dit qu’un jour, une des filles préférées de Balrath provoqua son père en duel. Fou de rage devant cette outrecuidance, Balrath lui arracha les ailes avant de la jeter au loin. Elle vola au-dessus du pandémonium pendant six jours et six nuits Dùralassiennes avant d’atterrir dans une zone loin de tout, désolée.
Il se trouva qu’elle se trouvait près d’un lieu qui, étrangement, était très proche du monde réel. Le voile était mince à cet endroit, sans qu’elle sache comment, et elle tenta un passage en force. Nul ne sait ce qu’elle est devenue, mais certains disent qu’elle serait à l’origine de l’une des trois voies de Kalumbra, la voie du chaos.

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