
Lins est né dans les montagnes, isolé de la civilisations, dans la famille Omniak, une famille aimante, mais quand il s'agit d'aider pas trop aimable, un beau jour quand il venait d'avoir 16 ans il eût un bracelet en collier, quand la nuit tomba et que toute la famille dormait, on entendait d'abord un craquement, puis deux, puis un cri et quand Klaus ouvrit les yeux c'était le noir complet, oui c'était la nuit mais il sentait qu'il se déplaçait, il le sentait au vibrations du plancher, il entendait les pleures de sa sœur et de sa mère, soudain ils entendirent une voix:
-Sérieux *#'-|µ£ t'étais obligé de buter le père, ses ailes étaient les £µ*$ robustes et tu les µ$ abimés
-C'est pas ma £**¨% s'il s'est débattu !
-Ca ne serait jamais arrivés si tu l'avait anesthésier comme les autres.
-Ils n'avait qu'à %£( être résistant !
-Bon sang... C'est Monsieur X qui va pas £#|_ content
-Qu'il aille au diable, qu'ils aillent tous au ù%°=" !
-Surveilles tes paroles, on est en vie car ils le décident...
-Tu as raison...
Ils n'ont plus ouvert la bouche jusqu'à l'arrivé, la seule chose qu'il a retenu c'est Monsieur X et diable... À moitié dans les vapes il se rendormit... Sans transition douleur extrême, pas l'temps de penser, un torchon dans la bouche il voit du sang sur le sol, le corps inerte de son petit frère et sa mère pleurant à côté, à terre, elle ne bougeait plus, seules ses larmes s'entendait, elle avait quelque chose de changer, elle était couverte de son propre sang qui coulait de son dos, elle baignait quasiment nue dans son sang, Klaus tourna la tête et vit sa petite sœur, le visage décomposé il la regardait et la voyait comme si elle n'avait plus d'âme, elle regardait sa mère, une seconde douleur arrivait, Klaus le sentait, il essayait de crier de lever la tête, de se débattre et on lui parla:
-Ecoute mec, plus tu te débats, plus tu auras mal, tu nous rends pas la tâche facile, désolé mais on a plus d'anesthésiant et on doit faire aVEC.
A la dernière syllabe de sa phrase Klaus tentait de crier, il vomit mais ravala à cause du torchon, il leva les yeux au ciel et pria... But nobody cam- Une lumière blanche et des cris, par le toit un homme non un stryge avec des ailes blanches comme la lumière sortit d'un coup du plafond, il avait une épée dans une main et pointait de son doigt la personne qui je crois était derrière Klaus il dit:
"- Je vais t'arracher ta vie et toi petit... Dès que tu le pourras, si tu le peux... Fuis."
Il baissa son doigt, coupa mes liens et utilisa de la magie de guérison, je me sentis libre, mais pourtant mon instinct me dicta de courir pour ma vie je voyais ma mère qui avait cessé de pleurer, avait enlacer mon frère dans son dernier souffle, alors j'ai couru, encore, et encore, je me suis enfoncé dans la forêt, les pieds en sang, je ne sentait plus mes ailes, je ne les contrôlait plus, je courais dans le désespoir et j'aperçut un village, je courait, quand mon pied toucha une des pierres taillés de la rue mes yeux se fermèrent, je perdis connaissances et m'écroula sur le sol... J'ouvrait les yeux pour la première fois mais je voyait flou... J'entendit la voix d'une dame:
"-Alors tu décide d'enfin ouvrir les yeux, c'est que je perdais espoir vois-tu, presque un mois dans le coma... Comment te sens-tu ?"
Je n'avait entendu que la fin de sa phrase, je lui répondit, ou plutôt j'essayait d'assembler des mots, ma bouche était engourdit.
"-Hm... Qurr... Euh... Moyerrr...
-Ca ne m'étonne pas, tu peux te lever ?
-J...Yyy seenssss plussss merrrr... Piedesss...
-Tu as du mal à parler, ne t'inquiètes pas ça va vite partir."
Epuisé, je me rendormit, puis me réveilla, je voyais presque clair et me sentais presque bien... La dame me demandait si j'allait, bien, j'étais beaucoup moins engourdit.
"-Je... Je crois que ça va... Où suis-je ?
- Tu es en sécurité, un homme t'as trouvé écroulé dans la rue, plein de sang et t'as ramené à moi, je suis une elfe et je t'ai soigné, et toi, qui es tu ?
-Je suis... Qui... Je ne m'en souviens pas...
-Le contraire m'aurait étonné, moi je sais deux choses sur toi, tu es un stryge noir à une elle et tu doit avoir environ 16 à 17 ans, je vais te garder avec moi jusqu'à ce que tu puisses marcher et parler normalement ensuite, l'homme qui t'as sauvé s'occupera de toi d'accord ?
- Oui... J'ai pas trop compris mais d'accord...
-Parfait, bois."
Elle me tendait une tasse à l'odeur plus que douteuse et je bu ce breuvage infecte elle me forçait à avaler, apparemment c'était une mixture d'herbes... Mais le plus important est... Je sais qui je suis, j'en suis sûr, mon nom, il est sur le bout de ma langue, je n'y arrive pas...
1 semaine et quelques jours ont passées et me voilà remis sur pied... LA dame qui s'appelait apparemment Yvonne m'avait nommé Klaus et l'homme qui m'avait sauvé, Al-Thaïr, m'a récupéré et m'a expliqué comment fonctionne le travail, on ouvre la taverne et l'auberge le jour et on ferme la taverne la nuit, quand on manque d'argent pour payer les taxes on ouvre le magasin d'armes et armures d'à côtés, il me présenta également les trois autres employés, Chromodemoex Cro qu'on appelle par le nom de famille, il y'avait également une elfe du doux nom de Alexandra qu'on appelait Alex et pour finir Vénus, il était passionné par tout et rien, chacun avait un caractère propre et Al-Thaïr donc, m'avait recueilli donc je travaillerais pour le mériter, au fil du temps on a tissé des liens, Al-Thaïr se faisant trop vieux pour les voyages je m'y collerais, j'ai un faible pour Alex Cro m'encourageais à la draguer, il s'y connaissait en relations mais parfois il me faisait des blagues honteuses, il me proposait d'aller dire des trucs honteux à Alex ou même une fois d'aller la reluquer quand elle se change, heureusement qu'elle nous connaît me disais-je sans cesse, Vénus aimait bien m'examiner, surtout mon dos, elle disait que j'avais un gros trou et que mon aile était arraché...
Etant donné que je faisais parfois fuir certains clients racistes, Al-Thaïr m'a appris à forger pour pouvoir m'en sortir si... Je me retrouve seul...
Bref, j'ai passé 6 ans de ma vie avec eux et c'est eux ma vrai famille, il y'a eu des hauts et des bas mais ils restent mon unique famille.
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