Endorial, la cité principale des peuples elfes au sein de la forêt luxuriante protégée par la garde Zéphyr et ses habitants. L’excellence, voilà ce qui devrait pouvoir juger l'état de la société elfique. Des constructions à peine empruntés de majesté au milieu de la nature dans les hauteurs des arbres millénaires. Voilà ce qu'était Endorial ! La réception de la noblesse haute elfique et ses invités allait avoir lieu dans une belle demeure fort agréable d'une famille noble, les Galanodel, une ancienne lignée connue pour son implication dans la vie politique et son ouverture. Comme à l’accoutumée, ils savaient recevoir avec autant de mets que de liqueurs de qualité et ce à volonté. La grande salle permettait de pouvoir être une bonne centaine sans se gêner. Il y avait nombre d’invités et de serviteurs tous aussi bien apprêtés les uns que les autres. Il y avait une majorité d'elfes de toutes sortes, triés sur le volet bien entendu, mais également quelques membres d'autres races non par pitié, mais également pour affaires ou pour leurs influences.
Si jamais la maison Ithrildor était connue vu le nombre de générations auxquelles elle pouvait prétendre dont une feuille verte entourée d'un léger liseré argenté en était le symbole, elle souffrait également d'une sorte d’aura. En effet, tous pouvaient savoir qu'ils étaient en affaire avec la mort, non qu'ils soient des croque-morts à des prix défiants toute concurrences, mais surtout à capturer spectres, esprits et autres créatures corrompues afin de les apaiser. Ma lignée n'était pas mauvaise, on ne relevait pas les morts ni à chaque solstice d'hiver on n'organisait de fêtes dans le cimetière familiale à la tombée de la nuit. Les grandes familles et les petites avaient affaire avec la nôtre en cas de soucis importants de déviance de la vie. Il s’avérait être un mal nécessaire que de rencontrer les oiseaux de mauvais augures que nous étions, nous les elfes aux feuilles argentées.
Dans une magnifique robe blanche légèrement échancrée vaporeuse, j'oscillais tel un balancier au bras d’un charmant jeune haut elfe, dont je faisais l’honneur d’une danse traditionnelle de la noblesse. C’était très épuré, très délicat et extrêmement codifié. Chaque couple plus ou moins improvisé par les arrangements, les intérêts politiques forçaient ce genre d’événements attendus. Le nombre de danse, avec qui, devant qui, un carnet de bal servait même à cela, ancienne tradition si agréablement désuet.La cascade de cheveux noir corbeau ondulait le long de mon dos au gré des mouvements, alors que l’orchestre jouait une musique délicate si classique pour ce genre de réception. Aux dernières notes si connues des personnes nobles présentes, je cloturerais d’une distinguée révérence féminine en prenant les jupons du chef d'œuvre parfaitement ajustée. Mon visage paraissait froid, distant ou digne selon les choix. Ce n’était pas que je n’appréciais pas l’expérience, cependant, ce que les Ithrildor devaient affronter dans la vie raffermissait indéniablement leurs cœurs.
Après quelques mots gentils à son égard à voix basse, je me dirigeais prendre un verre à un serviteur qui passait par là rempli d’un nectar sombre carmin, une très bonne bouteille de vin certainement. Je trempais mes lèvres comme pour soulager du léger effort de concentration et de représentation. Ce genre de prestation était plus proche d’un spectacle qu’un plaisir. Nous n’étions pas dans une taverne où la vie était si démonstrative. L’air de rien à considérer les membres de cette illustre assemblée, je préparais mes prochaines actions. Je n’étais pas présente ici uniquement afin de soulager mes besoins sociaux ou de profiter de mets délicats. Il s’avérait nécessaire davantage de profiter de rencontrer les bonnes personnes dans un cadre agréable et détendu surtout si je désirais avancer mes pions sur l’échiquier politique.
Sujet: Re: Soirée mondaine Lun 18 Nov 2024 - 14:01
La prochaine visite à une famille noble prévue par ses détestables parents aurait lieu dans le royaume elfique. Alba admirait ce peuple, mais pour pouvoir interagir avec eux, elle le savait, elle devait s'adonner à quelques études. Etudes dans lesquelles elle se plongea avec plaisir. Elle devait maîtriser un minimum la culture elfique. Et surtout...
Quelques heures plus tard, elle rejoignit son père, qui avait fini par se substituer à tout professeur de danse. Il était compétent, et la demoiselle préférait largement apprendre à ses côtés plutôt qu'à ceux d'un inconnu. Et puis, il fallait prendre soin de l'un de leurs rares terrains d'entente...
Elle aimait les danses elfiques. Tout aussi codifiées que les danses humaines, elles étaient bien plus gracieuses, plus agréables à regarder, elle en était certaine. Elle s'en fit la promesse, le jour venu, elle danserait avec un elfe. Et il ne faudrait pas qu'il le regrette. Elle devrait être parfaite. Mais elle ne s'inquiétait pas trop : son père était bon professeur et elle aimait l'exercice. Et de toutes façons, elle ne tarderait probablement pas à fuir loin de la plus grande partie des invités. Elle ne devrait donc probablement faire illusion qu'une heure tout au plus.
La semaine se termina ainsi paisiblement, entre entraînements et études. Elle dessina elle-même la fleur qu'elle porterait, dont elle décida qu'elle serait à l'honneur de cette nature chère à ce peuple, rappelant les pétales d'une fleur d'un rose délicat. Tout en respectant évidemment les codes des robes de bal de la noblesse... Dont elle ne faisait pas partie. Mais à présent, le mensonge faisait partie d'elle. Du moment qu'elle ne se fasse pas remarquer plus que nécessaire, elle jouerait n'importe quel rôle. La petite noble rangée en était un qu'elle en était venue à maîtriser à la perfection. Jusqu'à ce qu'elle disparaisse.
Le jour venu, elle mena donc sa soirée comme elle l'avait prévu, dansant avec les quelques autres couples qui se partageaient la piste de danse, et s'éclipsant rapidement et discrètement après une ou deux danses tout au plus. Puis elle se trouva un coin tranquille où elle s'installa pour dessiner les racines impressionnantes visibles derrière la demeure. Lorsqu'elle s'y était installée, elle s'en était assurée, elle était seule. C'était nécessaire pour elle. À présent, totalement absorbée dans son art, tout ce qui n'était pni son dessin ni son modèle n'existait plus. Le monde pourrait s'effondrer qu'elle ne bougerait pas de sa place.
Sujet: Re: Soirée mondaine Lun 18 Nov 2024 - 18:55
Si jamais je devais échanger avec d'autres hauts elfes, ce serait dans l'Ancien Elfique, une langue que bien peu d'entre nous, elfes, pratiquent encore. Une sorte de lubie pour certains, un vestige d'érudition pour d'autres, mais surtout une marque de distinction sociale que je trouvais tout à fait naturelle. Ce parler désuet servait autant à reconnaître l'élite qu'à en exclure les étrangers. Non que j’éprouve un mépris irréductible pour les non-elfes ou pour les elfes sylvains parfois dépourvus d’élégance ; disons simplement que leurs courtes vies les limitaient souvent dans leurs capacités à apprécier la magnificence de notre héritage et des autres sujets en général. Une existence éphémère n'accorde guère le temps nécessaire pour effleurer les subtilités d’un art ou d’un savoir.
Alors que je laissais mon regard glisser sur l’assemblée, une myriade de visages se détachait. Des humains majoritairement, ponctués de figures plus exotiques. Leur simple présence ici témoignait des sacrifices consentis pour franchir nos frontières et pénétrer notre domaine millénaire. Parmi eux, une jeune humaine attira mon attention, non par une prétention criante, mais par son attitude presque réservée. Elle s'essayait à une danse elfique, perfectible, certes, mais non dénuée d'une certaine grâce. Une enfant, selon nos standards, avec toute la fragilité que cela implique. Devais-je la traiter comme telle ? Sans doute que non.
Ce fut toutefois son retrait discret qui éveilla réellement ma curiosité. Une famille ayant investi tant pour atteindre cette réception et préférant peindre dans un coin plutôt que briller en société était un paradoxe intriguant. Dans un mouvement tout aussi élégant que nécessaire, je me glissais dans un petit groupe afin d'échanger quelques plates banalités le temps d'observer sans un coin sous des regards appuyés de certains en direction de cette femme humaine. Il s’avérait alors qu'elle aurait déployé un chevalet afin de peindre ou tout du moins tracé les quelques premiers traits noircissants le papier si jamais elle aurait pu. Cette humaine se retrouvait alors sur un grand balcon d'une bonne cinquantaine de mètres carrés, non Carrez, avec une magnifique vue sur la forêt millénaire. Je fis un petit mouvement de tête en direction des autres convives intrigués l’espace d'un instant afin de m’éclipser. Ce n'était guère très intéressant, alors soulager la curiosité malsaine de ce petit groupe d'elfes devenait possible et acceptable socialement.
Une fois sur le balcon, où l'humaine s'était installée, je fis halte à quelques pas, observant en silence. Les traits esquissés sur sa toile tentaient de capturer la splendeur des racines s’étendant sous la canopée. Noble effort, mais j’avais mes exigences.
« J’ai également quelques connaissances artistiques, bien que ma préférence aille à la sculpture sur bois. Peut-être une déformation professionnelle, mais cela m’intéresse. »
Lançais-je d’une voix calme, suffisamment douce pour éviter de rompre brutalement son moment de concentration, mais suffisamment affirmée pour qu'elle ne doute pas de ma présence. Je fis tournoyer distraitement le contenu de mon verre de vin, rouge profond, tout en gardant mon regard fixé sur son œuvre.
Ce choix de solitude en pleine réception elfique était déjà singulier en soi. J’eus un sourire léger, presque imperceptible, et repris.
« Ce genre de compagnie ne semble guère vous siéger, ma chère. Ai-je tort ? »
Mon ton, volontairement neutre, portait pourtant une pointe d’amusement, une invitation à une conversation moins codifiée, plus honnête. J’inclinai légèrement la tête, un geste à la fois poli et étudié, avant de me présenter.
« Du sais-je me montrer discourtoise, je suis de la maison Ithrildor. Je me prénomme Thalwë. Peut-être ce nom est-il inconnu pour une humaine, mais sachez que ma famille est renommée pour notre rôle dans la paix des âmes de diverses natures. Vous pourriez chercher longtemps sans trouver une présence aussi paisible que la mienne dans cette salle. Une rencontre comme celle-ci est-elle plaisante ? Je le pense. »
J’observai sa réaction avec un calme apparent, bien que ma curiosité fût piquée. Mes traits trahissaient une curiosité, peut-être une volonté de jauger l'oeuvre de cette femme et une offre de dialogue ou une simple courtoisie. Derrière moi, le brouhaha des conversations et des rires persistait, mais ici, sous l’arche étoilée du balcon, un silence relatif s’était installé. Une parenthèse à part dans la soirée.
Sujet: Re: Soirée mondaine Lun 18 Nov 2024 - 19:13
Elle fut interrompue par une voix. Elle commença par se tendre, avant d'immédiatement relâcher la tension sur ses épaules. La voix était féminine. Le danger était donc probablement écarté. De plus, cette femme exprimait très clairement un intérêt pour l'art. Elle se poussa, lui faisant de la place au cas où elle voudrait rester discuter.
- Je suis toujours ouverte à d'autres formes d'art ! Si cela vous convient, je serais enchantée d'en apprendre plus sur la sculpture ! J'en doute, car le lieu ne s'y prête pas, mais peut-être avez-vous l'une de vos créations à portée de main ?
Voir une oeuvre, même si l'art correspondant lui était totalement inconnu, était toujours une fabuleuse expérience pour elle.
- Pour ma part, vous vous en doutez certainement, je me spécialise en dessin. J'admets que vous aurez probablement quelque chose à y redire, car premièrement, ce n'est pas terminé, ensuite, je dessine habituellement plutôt des animaux, de préférence en mouvement... Mais un arbre immobile sera toujours plus intéressant que... Enfin, il fait partie de la nature, c'est ce qui fait son charme.
Elle ne connaissait pas cette femme. Inutile donc de lui dire ce qu'elle fuyait réellement. Du moins pas avant de s'être assurée qu'elle n'était pas tombée sur quelqu'un dont les opinions à ce sujet étaient radicalement opposées aux siennes.
Comme si elle avait lu dans ses pensées, la jolie elfe mentionna son inconfort parmi cette population. Elle laissa échapper un petit rire maîtrisé.
- On dirait que j'ai été percée à jour ! Mais oui, honnêtement, j'aime votre culture, il n'y a pas de doute. Mais j'aurais préféré venir à votre rencontre dans un autre contexte. Plus... Sincère. Moins codifié. Personne n'est réellement honnête, dans ce genre de réceptions...
D'accord, elle ne forcerait jamais personne à être honnête avec elle. Mais pour autant, elle préférait se rendre dans des lieux qu'elle avait elle-même choisis.
Puis elle se présenta. Oh mince. C'était vrai, il aurait fallu commencer par là.
- Pardonnez mon impolitesse. Je suis la fille de la famille Divitus... Qui n'est pas spécialement connue parmi les humains non plus. Mais par pitié, n'en parlez pas à mes parents !
Elle avait tenté un peu plus de familiarité. Quelque chose lui disait que cette femme pourrait devenir une bonne amie si elle ne gâchait pas tout. Alors, évitons les erreurs autant que possible.
Sujet: Re: Soirée mondaine Mer 20 Nov 2024 - 17:06
Je remarquais les légères variations dans le corps de cette jeune femme à mon approche. Ce ne fut que subrepticement, mais bien présent l’espace d'un instant. Craignait-elle tant que cela des elfes nobles ? Nous n'étions pas des sauvages ! Quoi qu'il y avait bien quelques invités, alors peut-être était-ce à raison. Quoi qu'il en soit, je n'en montrais rien sur mon visage en restant neutre et impassible. Ce n'était qu'une information intriguante à garder à l’esprit. Je restais debout pour le moment, juste à ses côtés afin de lui offrir un moment de répit afin de se remettre de cette tension. Verre à la main, j'observais le dessin avec attention comme si j'en attendait une révélation divine.
« j'en conviens que votre passion messie dévorante à eu raison de cette soirée en votre cœur. Il n'en est pas de même pour moi. Ce genre de soirée est important si vous désirez exister dans le beau monde. Alors malheureusement, je n'ai point eu l’audace d’apporter du bois et mes couteaux. Cependant, je serais là à même de vous parler de ma passion. »
Répondis-je souriante ne cherchant pas à être désobligeante, mais cela aurait été mal vu de penser à agiter sous les regards désabusés d’incompréhension les autres convives. J'avais l’impression de recadrer une jeune jouvencelle lors de son premier bal. Cette jeune humaine me semblait être si éloignée de la situation qui nous intéressait ici. Un souci d’éducation peut-être ? C'était à cela que l'on pouvait douter de la noblesse de son âme, mais ce n'était qu'une humaine, alors on ne pouvait pas y attendre autant qu'une elfe haute de surcroît.
« Ce qui est cocasse entre nos arts, c'est qu'ils fussent si opposés dans la méthode. En effet, laissez-moi étayer mes propos. L’art du dessin dont vous faites preuve avec autant de talents demande alors à compléter, à faire naître et grossir en quelque sorte.
Tandis que la sculpture, c'est l’inverse. Nous devons partir de l'état maximal de ce que la nature a bien voulu lui doter afin qu'à mesure de couteaux et de patience on lui retire ce qui n'est plus désirable pour faire naître l’excellence.
Je vous rassure, je ne suis pas là pour dicter qu'un art serait supérieur à un autre. Loin de là mes pensées fussent telles fugaces. De part de mes responsabilités que ce soit à propos des esprits comme du sang bleu de ma famille, la sculpture est pour moi l’unique matière que je fusse autoriser à choisir. Je serais ravie à l’occasion de vous faire découvrir mon atelier. »
Je tentais de maintenir un certain contrôle et une forme de bienveillance dans mes propos. Je reprenais avec une aisance extrême ma faculté d’enseigner, d’apporter une construction solide dans mes propos. L’objectif n’était sûrement pas de blesser ou troubler mon interlocutrice. A mes yeux, ce n’était qu’une jeune enfant.
« Est-ce que vous vous contentez de faire rêver les cœurs et bercer les âmes, ou alors vous réalisez également des plans d’architectes ? Je suis une adepte des œuvres réalistes, qu’elles soient réelles ou fabulées. Les représentations trop fantasmagoriques ou minimalistes ne sont que de la fainéantise. Un chef d'œuvre, sans doute cela doit bien demander plusieurs années, voir peut être même elle ne sera jamais parfaite. »
Je souris légèrement, venant boire une demi gorgée de vin de mon verre, comme pour me donner du temps de réflexion.
« Un arbre est en mouvement, mais il est difficilement perceptible même pour les elfes. La nature est vivante, elle est en évolution constante, seulement, à l’image des nôtres, les changements visibles sont imperceptibles ou presque. »
Je me doutais bien que cette femme fuyait quelque chose, j’étais curieuse de savoir, ce genre de singularité maladive et surement dangereuse pour cette femme. Cette distraction était la norme dans ce genre de réunion malsaine. Tout à chacun devait avoir conscience de ces règles ou se retrouver brisé sous les regards abscons des autres convives.
« Croyez bien que ma formation dans ce monde ingrat où nous sommes date de plusieurs vies humaines déjà. Je continue d’apprendre bien entendu, mais je dois bien avouer que je n’ai pas de mérite d’avoir deviner votre malaise à propos de la situation. Je me demandais cependant bien pourquoi après tant d’efforts, vous vous cachiez ici. Vous avez tout votre séjour pour admirer notre nature. »
Je souriais bienveillante, opinant de la tête.
« Rien n’est encore perdu voyons. Le domaine de ma famille est ouvert aux gens de biens et mon atelier également. Je suis l’héritière de la famille Ithrildor, il me serait fort aise de vous accueillir en mon sein. Je me demande vraiment si quelqu’un est véritablement sincère dans la vie, que ce soit entre ses murs ou d’autres, qu’ils soient faits de pierres ou de morales. »
Je souriais légèrement davantage en comprenant le mal être de cette jeune femme envers ses géniteurs. Je ne doutais pas qu’ils soient elfiques comme humains, il y avait un certain respect pour les aînés.
« Je ne connais pas bien la société humaine ni les vôtres aussi flamboyants soient-ils, je vous pensais sortie de l’adolescence depuis quelques années non ? Ne le prenez pas mal, j’ai eu ma période il y a quelques temps maintenant. Cependant, j’ai des responsabilités envers ma famille, son nom, sa réputation, notre tâche également. Ma famille a la lourde responsabilité de s’occuper des esprits, des âmes ou des morts trop meurtris pour arriver à se libérer. Ainsi, je me dois de reprendre le flambeau. Seulement, travailler de la bonne manière est une longue quête. Encore une fois, je ne désire pas vous faire la leçon, je ne connais point votre situation. Vous pourriez m’en parler à l’occasion, quand vous serez prête.
Damoiselle Divitus comment ? Je n’ai pas saisi votre prénom. Les humains ont bien un prénom si je ne m’abuse. »