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Le Monde de Dùralas


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 Mais quand est-ce que ça se termine!? PW [Shethyona]

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Amaurëa
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Amaurëa

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MessageSujet: Mais quand est-ce que ça se termine!? PW [Shethyona]   Mais quand est-ce que ça se termine!? PW [Shethyona] EmptyJeu 18 Aoû 2016 - 18:43
Séparation du contenu
---« Courir, courir, courir, ne t'arrête pas, cours encore ! Et ne te retourne pas ! », je me réveillais en sursaut d'un de ces cauchemars qui depuis trois lunes me hantaient. C'est en sueur, que je regardais le ciel étoilé. Le froid de la fin d'hiver dans la région juxtaposant le Désert D'Harena, à la frontière même de ce dernier et des Terres Désolées, était plus qu'hostile, les gouttes perlant sur mon visages semblaient se cristalliser par le froid. La nuit n'était pas fini, mais depuis mon anniversaire, je n'arrivais plus à dormir longtemps.

Cela ne faisait que trois mois que j'avais fuit ce jour atroce. Et ce terrain de désolation ne m'aidait pas. Je ne le voulais pas seulement. La preuve étant que j’airais depuis trois mois dans la même zone, zone hostile, aride, et, morte. La mort me hantais. Je ne me souvenais de rien de plus que le goût du sang, ce même sang qui coulait dans mes veines...
« Qu'est-ce que je vais bien pouvoir devenir et faire pour racheter mon âme au diable ? » Je décidais de marcher pour réchauffer mon corps. En supprimant l'idée de faire demis-tour, trois alternatives s'offraient à moi : la première étant de continuer tout droit jusqu'aux terres inconnues des marais cependant mourir dans des sables mouvants ne m'attirais guère. La seconde étant d'aller sur la plage et de voir la mer, or cela me rappelais trop de souvenirs, et, bien que la mort dans l'océan semblais idyllique l'idée de me faire manger par des crabes ne m'emballais guère. La dernière option qui s'offrait à moi se trouvait être le désert. Cette éventualités de passer par le désert me rappela un souvenirs :
J'étais chez l'aubergiste vivant dans les montagnes à l'extérieur des grottes de Spélunca, lorsqu'un marchand ambulant discutait, à table, en compagnie de deux mercenaires sur une arène où se combattaient des gens pour s’entraîner à devenir plus fort.
Je n'écoutais pas plus, comme je trouvais cela inutile de se battre, la violence ne résout rien. Je suis toujours de cet avis. Mais la défense est tout autre chose.


---Pour garder tout contrôle sur moi même, je restais sous ma forme humaine. J'avais peur de ne plus rien contrôler et de me réveiller dans un lieu inconnu sans savoir comment. Je me dirigeais donc dans ce lieu qui m'était étranger en faisant attention aux détails. « Undomë, es-tu passé par cet endroit ? L'aurais-tu fais par but d'aller dans cette arène ? » .
Le soleil se levait doucement, accompagnant mes pas vers ma nouvelle vie et ma quête première d'acceptation de moi même. L'air environnant commençais à se réchauffer à chaque minutes et mètres que je faisais. L'astre de lumière avait fait de son ascension un calvaire pour la mienne. Chaque partie de mon corps semblaient s'assécher. Mal gré cela je ne comptais pas m’arrêter. Ma détermination n'allais pas s'effriter pour si peut. Je pouvais puiser dans mes réserves naturelles. J'enlevais la pèlerine rouge de ma grand-mère pour me protéger la tête. La chaleur m'étouffait, je n'avais pas l'habitude de cet extrême. Je rappelais à mon corps la fraîcheur des grottes familiales de Spelunca, mais contrairement à l'effet positif auquel je m'attendais, mon corps semblait en souffrir. Pourtant le soleil n'était pas encore à son zénith.

---Après peut d'heures de marches, mon corps ne semblait plus tenir, mes membre me tiraient, j'avais envie d'un endroit où me rafraîchir... Comme la journée était bien chaude, je pensais que la lune n'affecterais en aucun cas mes sens. Je m'autorisais donc à me transformer en loup sur deux pattes. Mes pupilles me brûlaient le temps d'adaptation, mais déjà la chaleur semblait moins étouffante. De plus, mes jambes adhéraient plus au sable ainsi métamorphosé. J'avais l'impression d'aller tout droit, et pourtant de faire du sur place. Les dunes de sables semblaient se déplacer et mal gré cela elles étaient toutes identiques, sans aucune verdure, aucune brindille, même sec, rien, le néant. Juste du sable. Encore du sable. Je haletais, l'air chaud que j’inhalais me faisait pensait que j'étais une fournaise, un four pour faire de la cuisine.
Le paysages toujours pareil, le ciel sans nuages, le sable, les oiseaux... « Des oiseaux ! Cela voulais dire qu'il y avait de la nourriture pas loin ! Ah moins que je n'étais leur proie...Je ne me laisserais pas manger comme ça ! » .
J’avançais d'un pas plus rapide, essayant de garder un rythme régulier.

---J’aperçus du haut d'une dune, au milieu de brume quelque chose reflétant la lumière. J'accélérais le pas jusqu'à courir. Je tombais plusieurs fois, la troisième fois je ne me relevais pas, à bout de souffle et de force. Je sentis le sable autour de moi bougeait. J'observais à la recherche d'un quelconque animal mais ne vit rien. J'entendis le sable glisser sur ma gauche et me retrouva face à une bête noire, avec des pinces et une queue remontant ver son dos. Du bout de celle-ci se trouvais un pique luisant au soleil. Je ne bougeais pas, ne voulant pas attirais son attention. Or la mienne fut attirait de l'autre coté. Trois bêtes semblable de la taille d'une mains de troll se trouvait là près à m'encercler. Je me relevais alors doucement, sans gestes brusques, lorsqu'une douleur vive vient me brûler la cheville gauche. Je ne put m’empêcher de hurler. Mon cri de loup sembla les effrayer, leur temps de réaction me donna juste le temps de grimper la dune. Arrivais en haut, je fis volte face pour les voir me poursuivre encore. La température semblait augmenter d'un coup, la douleur de ma patte arrière était insupportable. Je sentis tout mon corps me lâcher, tomber et rouler, dévalent la pente de la dune. Puis ce fut le noir.

---La fraîcheur sur mon visage semblais tenir du miracle. J'entendis le hennissement de Taulë-Norne, je pensais l'avoir semé mais il semblerais qu'il m'ait rattrapé. Je me réveillais difficilement, toujours sous ma forme humanoïde, de loup à deux pattes. Je tenta de me redresser mais une vive douleur m'en empêcha. Je ne put retenir un couinement. L'endroit où je me trouvais était frai et baigner d'une faible lueur. Je sentais l'odeur d'humains, de peau de chèvre et d'eau. J'avais vraiment soif, j'avais l'impression que ma gorge n'était que du parchemin. Une femme aux cheveux tressé entra dans ce qui s’avéra être une tente. J'étais fatigué je ne sentais aucune force en moi je ne pouvais même pas m'exprimer. De mon corps inutile ne sortais que des sanglots étouffer. Elle s'approcha de moi et se présenta sous le nom de « Maryam ». Elle n'étais pas rassuré, alors je ne bougeais pas regardant l'eau avec envie. J'entendis des chevaux dehors, et je compris que ce n'étais pas mon ami qui était là... je bougea un peut pour lui faciliter la tâche mais en vain, je n'arrivais pas à bouger le moindre muscle tétaniser par je ne savais quoi. Elle me fit boire doucement et je la remercia mentalement ne pouvant rien faire de plus. Le noir revient, au fur et à mesure que mes paupières se refermaient. Je luttais pour ne pas sombrer dans le néant une fois de plus. Or il m'aspirait encore et encore. Maryam me pausa une mains apaisante et me tamponna les oreilles avec un tissu froid. Je ne pouvais pas résister plus...




Ce n'est que lorsque nous somme seul que nous pouvons avoir un tête à tête avec la bête qui sommeille au plus profond de notre être.
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