Rapport de fabrication :

Urua fabrique x2 éclats du dragonnier améliorés et 1x armure wyvern (lootée grâce au marchand auto)

Informations complémentaires : R.A.S


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Rapport de fabrication :

Talya fabrique x2 animarmure et x1 Heaume Hygal et gagne 15 points métiers.

Informations complémentaires : R.A.S

RP pour la quête 0.Initiation


En tant qu'invité, quoi de plus normal que de mettre ses maigres compétences au service de son hôte. Ce n'est peut-être pas la coutume à Sablevent, mais c'est comme ça que Tristan a été élevé. Ayant appris la fabrication d'armure depuis son enfance auprès de sa mère, il est difficile de savoir qui a forgé qui aujourd'hui. Son corps est battit pour se métier, et malgré leurs mésaventures, sa sœur et lui sont des dignes enfants du désert avec une résilience supérieure à la moyenne. Tandis que Cora était sûrement partie à la recherche des quelques pierres précieuses ou minerais digne d'elle, son frère s'était quant à lui mis en quête de la forge locale. Impossible de la manquer avec cette nappe de fumée noire qui en sort. Le haut-fourneau semble en route, parfait, se dira-t-il.

La ville est plus grande qu'il ne le pensait. En même temps, une baronne mérite d'avoir des terres sur lesquelles régner ! C'est une véritable dédale, mais avec cette balise fumante envahissant le ciel comme boussole, le voyage est nettement moins compliqué. Passant au hasard d'un marché, il pourra observer divers étales garnis des mêmes douceurs qu'il avait pu goûter hier au palais. Des plats traditionnels locaux aux tissus colorés, il en prend plein les mirettes. Quel beau voyage, et ce n'est que le début, lui et sa sœur avait encore des jours de marche devant eux avec sûrement une infinité de merveilles à admirer. La ville est particulièrement gardée, la baronne semble se donner à cœur d'éradiquer la criminalité de sa ville et de sa région à en croire les avis de recherche. L'une d'entre elle est titrée "On recherche des mercenaires pour nettoyer les sables.", cette affiche promet une prime grassouillette a qui ramènera la tête d'une troupe sévissant dans la région. Tristan ne peut s'empêcher de se dire qu'un jour il sera capable de venir à bout de quelques crapules juste en claquant des doigts. Cette idée le fait rêvasser un instant avant qu'il ne se remette en route.

Le voilà enfin en fasse de la forge de la ville. Une bâtisse en grès comme la ville en compte des dizaines. À peine le temps de l'admirer qu'il sera déjà entré dans la boutique. Il pousse le rideau de perle de terre qui compose la porte, faisant sonner un petit carillon. Un grand gaillard bâti comme lui est derrière le comptoir et l'accueil d'un mouvement de main alors qu'il est en train de ranger quelques unes de ses dernières créations.

"Bienvenue à la forge du Physalis. Je suis Physos, en quoi puis-je vous aider ?"

Tristan observe autour de lui, assez admiratif du travail que son homologue arrive à abattre.
"Bonjour Physos, je m'appelle Tristan. À vrai dire je ne suis pas là pour acheté, j'aurais plutôt aimé savoir si vous aviez besoin d'aide à la forge. Je suis de passage et je cherche à me faire quelques pièces pour la suite de mon voyage avec ma sœur. Auriez-vous un peu de travail pour ?"

Physos arrête ce qu'il était en train de faire, posant une paire de gants épais sur la table. Il jauge son interlocuteur, l'observant de toute sa hauteur. Son physique est assez impressionnant. Il est encore plus massif que Tristan. Son torse nu caché par son tablier de forgeron très mal sa musculature saillante et ses poils que l'ont pourrait presque comparer à de la fourrure. Il avance alors vers Tristan, se plaçant devant lui, le surplombant.
"Tu as de l'expérience dans ce domaine ou tu fais toutes les boutiques à la recherche de petits boulots ?"

Tristan reprend en se frottant l'arrière de la tête. Il soutient son regard. Les rôles ce sont inversés.
"Mes parents tiennent une forge à Stellaraë. Elle alimente une partie de la garde en matière d'équipement. Je suis formé à l'armurerie depuis que je suis tout petit pour ma part. Je peux parfaitement ne faire que des clous ou des fers à cheval si cela vous convient. Je suis de passage pour au moins deux jours, je peux vous aider pendant ce temps, j'ai vraiment besoin de ces quelques pièces."

Le grand gaillard fait des ronds de bouche, sa barbe massive se mouvant sous l'effet de sa réflexion. Il finit par poser une main sur l'épaule de Tristan.
"Je veux bien te donner une chance Tristan. J'ai justement une commande pour quelqu'un d'important que ma femme et moi n'avons pas le temps d'honorer aujourd'hui. Si tu arrives à créer l'objet de ses désirs d'ici demain, je te laisserai l'argent qu'il m'a promis."

Le visage du jeune homme s'éclaircit. Il incline plusieurs fois la tête par respect.
"Merci beaucoup monsieur Physos, je ne vous décevrai pas."

Plus motivé que jamais, Tristan se mit directement au travail, faisant au passage la connaissance de la femme de Physos, Alice qui travaillait dans l'arrière boutique. Le blondinet découvrit une nouvelle méthode de travail. Une ville aussi isolé dans le désert n'a pas forcément de mine. Il existe cependant un don d'Harena : l'ocre. C'est un sable couleur rouille très riche en fer. En le faisant chauffer, on arrive à extraire le minerai de la pierre qui ne fond pas. C'est un métal d'une qualité discutable en l'état, mais les locaux créent des plaques de se métal en le repliant plusieurs fois sur lui même pour lui donner les mêmes propriétés que du minerai plus noble. Après avoir bien compris comment travailler, Tristan passa son après-midi et une partie de sa nuit à réaliser son ouvrage. Rien de trop gros, juste ce qu'il faut pour ce temps. Il a réussi à créer un ornement d'armure se plaçant sur une paire d'épaulières aux couleurs de la ville. Sûrement une commande d'un membre de la garde bien placé. Comme promis, Physos lui donna l'argent de cette commande, très satisfait du travail du jeune homme. Le temps de rapides au revoir, et voilà Tristan repartit pour sa couche, éreinté par sa longue journée.


Forge de x1 Armure Hyno

J'en revenais toujours pas. J'avais gagné le tournoi de Stellaraë. Me battre n'était certainement pas ma grande passion, mais me mesurer ainsi à de puissants guerriers me permis de jauger mes forces et ainsi me rendre compte à quel point je pouvais perdre tout contrôle sur ma magie beaucoup trop facilement. Il devenait urgent que je comprenne ce qu'il m'arrivait, que je me rende à Spelunca pour percer les mystères liés à ce mal qui me rongeait.
Pour l'heure je me retrouvais seule dans mon petit atelier sur roues. Cette victoire m'avait permit de remporter une armure d'une qualité remarquable, jamais je n'avais vue un cuir aussi résistant et léger à la fois. Les écailles de cuir noir qui la parcourait faisait penser à la robe d'un dragon. J'eus à peine besoin de la retoucher pour qu'elle m'aille parfaitement, épousant si bien les courbes de mon corps que je n'avais même pas l'impression de porter une armure. Je me mouvais aussi aisément qu'avec une tenue ordinaire. A la différence que je passais beaucoup moins inaperçu avec un tel accoutrement. Mais ça ne me déplaisait pas pour autant, les tenues tapes à l’œil étaient ma spécialité après tout.

Le casque à forme plus ou moins reptilienne avait davantage l'apparence d'un masque amovible très pratique pour me protéger du vent lors de mes ballades aérienne sur le dos de Lune, mon âme métamorphe. La visière se relevait sur ma tête, donnant l'impression que j'arborais deux grandes oreilles écailleuses. C'était du plus bel effet.

Mais malgré la beauté du travail d'artisan incroyable réalisé sur cette pièce unique, je ne pus m'empêcher de la modifier légèrement. D'y ajouter ainsi une touche un peu plus Holyesque.
Ainsi je m'attelais depuis plusieurs heures déjà à la teinture de chaque écailles de l'armure, mettant du bleu dans tout ce noir. Peu à peu la couleur du cuir se rapprocha de la fourrure de ma compagne brumeuse. Tout d'abord le plastron, puis les épaulières. Les canons d'avant-bras s'arrêtant sur les phalanges de mes doigts, ainsi je pouvais jouer sur les cordes de l'ocarinharpe ou avec l'archet de mon violon au bois blanc sans difficulté. Puis le casque, la visière pour finir sur les hanches.

Une fois la teinture terminée et complètement sèche, après une bonne nuit de sommeil. Je sortis un outil spécial d'une petite mallette en bois. A première vue, c'était un stylet de gravure tout ce qu'il  y avait de plus ordinaire. Seulement celui-ci était munit d'une pointe brillante, pulsant d'une légère lumière turquoise.
Cet outil était communément et vulgairement appelé un crayon à runes. Rare, je l'avais déniché dans la boutique d'une abyssale, sur l'île de Wystéria. Pour l'activer, il fallait insuffler dans la pointe une petite quantité de magie et bien que son utilisation demandait un peu de pratique, on pouvait rapidement arriver à des résultat acceptable avec une puissance psychique suffisante. Il permettait de tracer des runes magiques, il suffisait de savoir les tracer. J'avais donc apprit les principales runes abyssales me permettant d'imprégner une certaine forme de magie dans le cuir de mon armure, la rendant encore plus résistante, la dotant par la même de capacités uniques qu'il me tardait déjà d'essayer…

Les dessins ronds pulsaient faiblement durant un moment avant de prendre une couleur pâle, à peine visible. Le sortilège était loin d'être parfait, mais il semblait fonctionner à première vue, parce que lorsque l'abyssale avait amélioré l'ocarinharpe, les runes avaient pulsées de la même manière avant de pâlir, idem que mon tatouage runique. Je jetais un œil aux dessins bleus pâles tatoués sur mon bras droit, ces runes là étaient net et parfaitement dessinées. Rien à voir avec les traits maladroits que j'avais moi-mêmes tracés. Fort heureusement, elles n'étaient pas très visible sur le cuir fraîchement bleui.
Je finis de préparer mon armure en la graissant avec soin afin de nourrir et de faire briller le cuir. Pour ensuite l'enfiler une énième fois. Je me regardais longuement dans le grand miroir du petit atelier. J'avais vraiment pas l'air de rigoler là-dedans. D'une impulsion d’énergie, j'activais la magie imprégné dans le cuir pour tester ses capacités magiques. Elles étaient dignes du tournoi de Stellaraë en tous cas !


J'améliore mon Tricératheaume et ma Tyrannarmure contre 4 os dorés (cash) et souhaiterais m'en équiper s'il vous plaît merci <3

Comme souvent, quand Urua revenait dans sa forge après un certain moment, il retrouvait le bazar qu'il avait laissé la dernière fois qu'il l'avait utilisée. Les restes de minerais ou même de poudre, les outils en vrac, le fourneau encrassé par les cendres froides et le charbon qui n'avait pas été consommé. Le premier réflexe consistait toujours à un nettoyage de forcené, pour obtenir un environnement de travail convenable. Cette partie du travail était une de celles qu'il aimait le moins. Raison pour laquelle il nettoyait rarement après son passage, pour ne pas gâcher son plaisir d'avoir forgé ses pièces et de les avoir chouchouté. Au moins, il le faisait avant tout, se débarrassant des travaux pénibles avant d'attaquer les parties plus intéressantes.

Après plusieurs heures, s'être assuré d'avoir une forge pimpante et immaculée, il était prêt à s'y mettre. Les fonds étaient dangereusement bas ces temps-ci et il fallait bien renflouer. Des projets attendaient une bourse pleine. Les choses bougeaient ces derniers temps, entre la direction de la faction, les Dragonniers qu'il essayait de redorer dans l'inactivité générale, l'institut de magie qui faisait peau neuve, il allait falloir se dérouiller. D'autant qu'il lui restait un stock inutilisé de minerais et ce n'était pas dans son habitude. Généralement quand il avait quelque chose à forger, il forgeait. Et aujourd'hui était le jour.

Seul dans sa forge, sans Diagoras, c'était son moment à lui et son compagnon en profitait pour aller rendre visite à son clan, il pouvait laisser libre cours à ses pensées et partir dans son monde. Quand il devait forger des pièces complexes ou peaufiner une pièce pour une commande, il devait se concentrer mais lorsqu'il se lançait dans une série de fabrications qui n'allaient servir qu'à remplumer les comptes, il n'avait besoin de rien d'autre que ses réflexes et ses automatismes. Ce n'était pas plus mal, cela lui permettait de penser à d'autres choses, à des problèmes à régler et à ses projets futurs. Il pouvait aussi forger rapidement une quantité appréciable de matériel qui rapporterait un pécule suffisant pour les frais courants. Il faudrait peut-être refaire un tour de fabrications pour être à l'aise mais il commençait à avoir l'habitude.

Un grand sourire découvrit les crocs d'Urua quand il put enfin entamer son travail cathartique. Le processus de tri des minerais selon leur pureté, leur dureté, leur utilisation le calmait et l'apaisait. C'était une sorte de préliminaire à l'action en elle-même. Maintenant, il avait l'œil. Il pensait avec nostalgie à l'époque où il devait consulter ses collègues ou apprendre à reconnaître les différents matériaux. A force de travail et de persévérance, il n'avait presque plus besoin de faire attention, ses yeux étaient directement reliés à ses mains et avant même de s'en rendre compte, plusieurs tas se présentaient devant lui, sans une erreur. Il allait pouvoir passer au raffinement, encore une fois, tout en pensant à la direction qu'avait pris sa vie dernièrement.

Faire fondre des cailloux. Qui avait eu l'idée en premier ? C'était ce genre de pensée qui lui traversaient la crinière quand il laissait son esprit vagabonder. Malgré la débilité de l'idée de prime abord, cette personne était un génie. Il avait pavé la voie à une technique encore utilisée de nos jours. Chaque qualité et nature de minerais demandait une chaleur et un temps précis pour donner le métal le plus pur et utile possible. Une fois fondu et purifié de la roche dans laquelle ils étaient emprisonnés, les gouttelettes de métaux étaient coulées en lingots pour une manipulation plus pratique. Le temps perdu était largement compensé par le confort et le stockage que la méthode permettait.

Une fois les lingots démoulés, le reste n'était qu'une formalité. Les chauffer afin de les marteler et de leur donner les formes dont il avait besoin était une seconde nature pour lui. Les couleurs du métal quand il chauffait parcouraient toutes les nuances du blanc au rouge profond. Urua savait reconnaître chacune d'entre elles maintenant. Parfois à une seconde près, il lui fallait recommencer tout le processus s'il était assez dissipé pour manquer le bon moment. Heureusement, ça lui arrivait rarement maintenant et il pouvait passer des heures à forger sans recommencer aucune partie. Le martelage prenait beaucoup moins de temps avec Urua qu'avec d'autres forgerons. Il pouvait activer le soufflet avec sa queue et utiliser ses deux pattes pour manipuler les pièces et les outils.

Quiconque verrait le ballet du forgeron serait impressionné. Il ne s'arrêtait pas, tournoyant dans la forge, utilisant toujours son temps à quelque chose même lorsqu'il était censé attendre. C'était ce qui faisait de lui un forgeron si efficace et demandé. Plusieurs commandes avaient été passées auprès de lui même si les temps étaient plus calmes, il restait assez connu et prisé pour des travaux plus précis et importants. Il lui tardait d'en recevoir de nouvelles. Autant la forge pour l'or lui plaisait, autant les défis offerts par des commandes particulières le stimulaient et l'excitaient. En empaquetant ses nouvelles créations, il songea à se renseigner pour savoir si quelque aventurier n'avait pas besoin de nouvelles améliorations de son équipement.

Rapport de fabrication :

Holy fabrique x1 Tricératheaume et 1x Tyrannarmure contre 4 os (de Julien) dorés

Informations complémentaires : R.A.S


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Rapport de fabrication :

Tristan Ambroise fabrique x1 armure Hyno et remporte 5 points de métiers et 10 points bonus pour le très bon Rp.

Informations complémentaires : Bravo! Tu accompli la quête 0.Initation. Par conséquent, ton armure est fabriquée gratuitement.

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Rapport de fabrication :

Urua Butin réclamé !

Informations complémentaires : R.A.S

Rapport de fabrication :

Amarïe Kaerendïl gagne 5 points de métier et 10 points de métier bonus pour le très bon Rp

Informations complémentaires : Tu gagnes 1 armure wyverne + 500 Po pour l'accomplissement des quêtes :  0.Initiation et VI.la liste de mots

Rapport de fabrication :

Aube Kel'il gagne 5 points de métier et 5 points de métier bonus pour le très bon Rp

Informations complémentaires : Tu gagnes 1 armure wyverne gratuitement grâce à la quête 0.[/

Cyrus se leva avant que le soleil ne soit entièrement levé, profitant de la fraîcheur de la nuit passée. Il se rendit à son atelier, une bâtisse modeste mais fonctionnelle. À l'intérieur, l'air était chargé de l'odeur du métal chaud et du charbon brûlé, un parfum qui avait le don d’apaiser aussi bien que d’inspirer l’esprit de Cyrus.

Le jeune forgeron commença par allumer la grande forge en terre cuite, la flamme vacillante devenant rapidement un brasier rugissant grâce à un appelle d’air maîtrisé. Il avait soigneusement préparé le fer et le cuivre la veille, les purgeant de toute impureté.

C’est avec une grande précaution qu’il se chargea d’ajouter les lingots dans un creuset au température infernale, liquidant le métal en une pâte visqueuse en fusion. Cyrus comptait bien profiter des moules en argile pour couler les parties métalliques de son armure. Le métal en fusion déversé avec précision dans les moules pour en sortir des pièces grossières aux formes parfaites, manquant seulement de peaufinage pour la rendre utilisable.

Au fil des heures, la forme de l’armure commença à émerger. Les plaques de l’animarmure étaient conçues pour offrir une protection maximale tout en permettant une liberté de mouvement. Assurant à son porteur autant de protection que possible sans entraver ses mouvements. Un choix poussé par l’expérience pour le jeune homme qui avait déjà fabriqué une telle armure.

Le voilà en ce début de matinée qui posait lourdement son attirail de forge sur une table rustique au bois craquelant face à sa propre usure. Cyrus, ne sachant que faire de sa journée, s'était permis de revenir dans le hall du magasin jouxtant la forge. Un vieux bâtiment, fait de terre cuite, où l'on pouvait trouver des babioles en métal ou des armes et armures de qualité trop modeste pour paraître à l'hôtel de vente. Il n'était d'ailleurs pas rare que des commandes diverses y soient déposées pour du matériel de toute sorte.

Aujourd'hui, l'une de ces requêtes paraissait sur le tableau de bois prévu à cet effet. Voilà qui piqua l'intérêt du jeune forgeron qui voyait en cette demande une bonne distraction.

Ainsi, il arracha le papier froissé pour s'atteler à la tâche qui l'attendait. Les braises de la forge surgiront bien vite, accompagnées de près par les martèlements incessants qui façonneront le métal pour lui transmettre sa forme finale. Le métal incandescent pliait sous la force des impacts répétés tandis que les gestes précis et puissants de l'apprenti finalisaient son œuvre. Bien qu'il voyait en ce travail comme une occupation gratifiante, cela ne semblait pas représenter un assez grand intérêt à ses yeux pour en parfaire le travail. Le produit final n'était alors guère plus que passable.

Rapport de récolte :

Cyrus Butin déjà réclamé !

Informations complémentaires : Tu gagnes une Animarmure gratuite avec la quête d'initiation.

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Rapport de récolte :

Aube Kel'il Butin déjà réclamé !

Informations complémentaires : /

Rapport de récolte :

Aube Kel'il Butin déjà réclamé !

Informations complémentaires : Tu accomplis la quête VI. La liste de mots et gagne 500 pièces d'or.

Après son aventure dans les cavernes, Urua était revenu porteur d'une pièce d'une qualité rare. On pouvait même dire unique. Il n'avait jamais vu son pareil et l'avait évidemment rapporté avec lui. Le bouclier qu'il avait découvert était tout d'or recouvert et arborait des ornementations et des sculptures d'une finesse inégalée. Son vieil Éclat du Dragonnier lui avait bien servi et dévoilait d'emblée à quiconque le rencontrait qu'il faisait partie des plus hauts gradés de cette institution prestigieuse. Toutefois, il devait privilégier l'efficacité et la puissance à la vaine esthétique.

Ainsi, il avait décidé de remettre au goût du jour le bouclier qui semblait si ancien que même les elfes ne pourraient probablement pas l'identifier. Depuis qu'il avait été forgé, les techniques avaient été améliorées, il lui fallait donc le mettre à jour. Débarrassant tout ce qui embarrassait son établi, il le posa dessus et commença à l'étudier plus attentivement. Il avait senti tout de suite ce picotement de l'épiderme et ce hérissement des poils qui évoquaient chez lui d'habitude, un signe de magie. Ses maigres talents dans les arcanes ne lui permirent pas de déterminer de quel enchantement il avait été imprégné. Il lui faudrait le présenter à l'institut où un professeur d'enchantement avait élu domicile, pour savoir ce qu'il avait entre les pattes.

Le but aujourd'hui était d'en faire un outil plus résistant que tout ce qu'il avait fabriqué jusque là. Il s'attela donc à la tâche toute l'après-midi et une grande partie de la nuit. Il travailla sans relâche, sans une once de repos et avec toute la concentration et le talent qu'il lui restait. Lorsqu'il eut fini, le bouclier était à la fois une œuvre d'art visuelle et d'efficacité. Jamais il n'avait tenu pareille pièce et probablement personne n'en avait tenu depuis qu'il avait été abandonné. Il stocka son ancien matériel et emporta sa trouvaille vers l'institut afin de savoir ce qu'il pouvait en faire.

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Amélioration du bouclier sépulcral avec 2 saphirs dans mon inventaire.