-Rends toi !

Pied sur la gorge de l'instructeur au sol, marteau levé, Corbeau râle plutôt qu'il ne crie, a boute de souffle, la gorge plus sèche qu'un sac de poussiére, et se sachant parfaitement incapable de continuer à combattre si l'instructeur ne décide pas d’arrêter aussi de son coté.

-C'est bon gamin, t'as gagné...
-Super...

Et lâchant son marteau et son bouclier, Corbeau se laisse tomber au sol à coté de l'instructeur, aussi mort et à bout de souffle que lui.

-C'était facile...
-C'est parce que je t'ai laissé gagné. La prochaine fois on se battra pour de vrai et tu verras ce que c'est un vrai combat.
-C'est quand vous voulez. Mais pas demain, demain je crois que j'ai infirmerie.