Il y avait quelques bûcherons qui travaillaient non loin où s'était posé Lokyem. C'était loin de le frustrer. Tant qu'il n'avait pas à souffrir de leur discutions incessantes, cela ne le dérangeait pas. Au contraire, il appréciait réellement entendre au loin des bruits de hache autre que ceux de la sienne. C'était une étrange mélodie métallique qui se jouait sans chef d'orchestre, sans même que les musiciens comprennent ce à quoi ils participaient.

C'était quelque chose de commun, parmi les vivants : on vit sans faire vraiment se soucier de l'aura qu'on dégage. On se focalise sur la trace qu'on laisse, derrière soit, pour la postérité, mais jamais de ce que l'on fait dans l'instant présent.

Lokyem n'était pas de ces gens là. Lokyem savait écouter. Mieux, Lokyem voulait écouter. Il ne se lassait absolument du miracle que lui livrait à chaque moment l'instantanéité. Il pouvait s'extasier sur deux bûcherons frappant simultanément leur arbre de leur outil sans se voir ni s'être concertés avant. Après tant d'années sur Dùralas, il avait enfin réussit à comprendre l'Harmonie qui pouvait résider chez les vivants. Avant cela, il ne l'avait vu que dans la Nature : l'océan, la forêt, les montagnes... Il était touché au plus profond de lui même par cette beauté brute et, finalement, inconsciente. Et les Vivants, avec leur conscience, leurs gestes réfléchis, leurs décisions pensées, ils gâchaient tout cela, comme un vandale déchire la toile du plus grand des maîtres.

Et pourtant, de plus en plus, ces temps-ci, Lokyem était de moins en moins dérangé par les présences conscientes. Il lui arrivait même parfois de venir à les apprécier, trouvant qu'elles appartenaient presque à cette Grande Oeuvre qu'était l'Harmonie.
Il lui avait fallu quelques temps pour comprendre ce qui arrivait à le toucher dans la manière d'être des Vivants - car il faut bien avouer, il n'aurait jamais pensé que cela puisse lui arriver. Finalement, c'était les gestes inconscients dans les actions conscientes qui le fascinait.

Ce qui se rapportait à l'instinct. L'animalité, même, parfois... Mais aussi le hasard. La coïncidence. Ce que le Vivant ne savait maîtriser, voilà tout simplement ce que le pirate trouvait de beau. Le rougissement, gêné ou de colère, d'une femme suite à un compliment un poil trop osé ; la lueur d’extase dans les yeux d'un gamin face à quelque chose de nouveau ; la goutte de sueur perlant sur le corps d'un pirate sous le soleil et le joug de l'effort ; les cris alimentés d'adrénaline que beuglait un guerrier pendant un combat... Tout cela parvenait à séduire Lokyem d'une étrange manière, et plus Lokyem cherchait à comprendre la force de ce charme, plus ce dernier avait d'emprise sur lui.

Peut-être la chose qui ravissait le plus Lokyem était que... si des Vivants totalement lambda, ignares et grotesques, étaient capable d'ainsi participer à l'Harmonie, peut-être était-il capable d'y poser sa pierre aussi. Peut-être était-il déjà en train de la poser, sans s'en rendre vraiment compte.
...
Le sourire de l'abyssal s'effaça un peu.

Peut-être était-il impossible d'être dans l'Harmonie de façon consciente. Son but, sa quête final... Inaccessible. Toujours plus.

Avec un soupir, il se remit au travail.

Rapport de récolte :
Lokyem gagne 20 bois de sureau et 5 points de métier!

Conseils pour le RP : Rien à redire !

Rapport de récolte :
Excelsior gagne 20 bois de sureau, 5 points de métier

Conseils pour le RP : Rien à redire !

Bon courage pour de nouveaux bûcheronnages et à la semaine prochaine !

Depuis ses débuts en tant que bûcheron, le bois de sureau, pourtant de taille respectable, avait drastiquement diminué. Il avait, dans ses souvenirs, un gigantesque bois verdoyant, rempli de vie, et à perte de vue. Il n'avait maintenant sous les yeux qu'une faible portion de sa grandeur sylvestre d'auparavant. Des arbres calcinés l'entourait, et, sans qu'il sache pourquoi ou comment, Excelsior était certain que cela venait de lui. Il n'avait aucun souvenir d'avoir allumé de feu, et savait que sa magie était incapable d'une telle chose, mais en était intérieurement convaincu. Comme un souvenir que l'on arrivait pas à ressituer dans le passé.
Comme un rêve.
Le bosquet de sureau était désormais presque dévasté. Il devrait bientôt s'en trouver un autre. Un autre qu'il dévasterait.
Bientôt.

Depuis le temps que Loky coupait du bois de sureau, il en étiat devenu un expert. Et heureusement, car cette semaine, pas moyen de se concentrer sur ce qu'il faisait. Le fer de sa hache s'enfonçait sans problème dans le bois vert et meuble, avec une précision toute relative, mais heureusement peut nécessaire.
L'abyssal avait la tête ailleurs. Depuis sa rencontre avec Laora Moelyn, il avait eu du mal à focaliser ses pensées. Quand il ne songeait pas à la rencontre, il repensait à ce qui s'était passé juste avant. Les cris suppliciés de l'homme. Son expression de pure horreur. Ses hurlements de douleur. Son visage calciné où dansait encore des flammes insouciantes.

Lokyem devait avouer que c'était surtout le visage brûlé qui le troublait et qui l'avait perturbé, sur le moment. Le pirate détestait le feu. Il l'avait pendant longtemps considéré comme un ennemi personnel. Il avait préféré la froideur frigide de la nuit à la douce aura des flammes, cotoyé les ténèbres terrifiantes plutôt que de les détruires à l'aide d'une torche. Le feu, c'était l'enfant de salaud qui lui avait ravi ses branchies et sa vie maritime qu'il avait tant aimée... et, ne l'oublions pas, son frère.

Malgré son âge et ses années de sagese, même si Loky avait fini par digérer son exil forcé, son corps stygmatisé... il n'avait jamais vraiment guéri de la blessure laissée par la mort de Raegan. Il s'empêchait d'y penser, voilà tout.
Il n'avait jamais eu le courage d'affronter ses souvenirs cahotiques de la nuit où son frère était mort, comme terrifié de découvrir que le traumatisme était toujours là, à peine émoussé par les siècles.

Alors entendre le supplice de Roark, ce connard qui avait eu le malheur de vouloir abuser de la mauvaise personne, le voir, y mettre fin... Lokyem s'en serait bien passé.
Les hurlements qu'il avait entendu, il les avait poussé, il avait entendu ceux de son frère. Et voilà que la voix torturée de Raegan venait de nouveau le hanter, accompagné du fantôme de la sienne, qu'il peinait à reconnaitre. Il avait si peu oublié... S'il se focalisait un peu, il pouvait presque sentir son dos le brûler de nouveau, l'odeur de chair calcinée se réincarnait dans ses papilles olfactives... il n'en faudrait qu'à peine plus pour que des larmes gagnent ses yeux.

Alors heureusement, finalement, que Loky n'avait pas à se concentrer. Une floppée de gestes mécaniques, juste assez pour que l'abyssal se libère un peu l'esprit. Juste assez pour que Lokyem cesse d'être torturé...

Une fois tout le bois coupé, il s'offrit une pose, la sueur que l'effort avec déposée sur sa peau devenant glacée par la brise hivernale. Et son esprit qui recommençait à vagabonder de nouveau vers l'abîmes périlleux des souvenirs traumatiques...

"Bordel..." lâcha Loky entre ses deux serrées avant de se diriger d'un pas morne vers le bosquet de cerisier.

La routine avait du bon. Elle instaurait une sorte de stabilité dans la vie un peu étrange que menait ces temps-ci le pirate. Rejoindre les pirates, les régulateurs, les dragonniers... Pour un monstre de calme et de continuité, cela faisait vraiment beaucoup de changement étalé en si peu d'années... Pourtant, Lokyem ne pouvait dire que cela le dérangeait. Il appréciait voir de nouvelles choses. Cela faisait si longtemps qu'il n'avait pas été agréablement surpris de choses venant de vivants, et voilà que tout ce qu'il tentait semblait lui sourire... Il n'était pas mécontent, néanmoins, de pouvoir se rattacher à une routine.
Couper du bois, chaque semaine, avec une régularité presque effarante.

Le dernier sureau.
Le bosquet, dans lequel il avait coupé tant d'arbres qu'on aurait pu l'accuser de fanatique, était désormais vide. Le tout dernier survivant se tenait, fièrement, narguant presque l'homme à la hache en face de lui. Plus pour longtemps.

Le dernier arbre coupé, le premier bosquet dévasté, Excelsior repartait en direction de la ville, dans l'unique but de le revendre à un sculpteur débutant ou peu fortuné, afin de le transformer en un objet d'utilité humaine.

Une fois fait, Excelsior, baluchon sur l'épaule, quittait l'hôtel de vente d'une démarche lente. Une pointe de nostalgie le surprit quelques instants, mais il l'oublia rapidement. Il avait d'autres arbres à couper.

Rapport de récolte

Lokyem gagne 40 bois de sureaux et 10 points de métier.

Conseils pour le RP : Rien à redire !


Excelsior gagne 40 bois de sureaux et 10 points de métier

Conseils pour le RP: Rien à redire


Bon courage pour de nouveaux bûcheronnages et à la semaine prochaine !

Je brandis la hachette, encore une fois.
J'avais depuis quelques temps l'envie de retrouver mes habitudes : ce bois où je l'avais rencontré, les odeurs familières, ce calme et cette solitude... Cela m'avait manqué. Non pas que ma vie de pirate ne me déplaise, mais j'avais dû sacrifier bien des choses contre un équipage empli de personnes de tout horizon.

Pour une naga comme moi, il était difficile à concevoir qu'une communauté nous accepterait quelque part. A vrai dire, mis à part les stryges noirs qui vivaient la même situation, je ne pensais pas trouver ma place autre part que dans le temple du Basilic.
Mais les pirates m'avaient montré une autre facette de ce monde. Je souris. Et dire que j'étais tombée sur eux par une suite de hasards.

Puisqu'enfin le temps m'était offert, je le consacrerai à la réflexion : prendre un peu de recul ne serait jamais un mal, je pense. Alors tandis que mes bras réunissait encore plus de sureau, mon esprit s'égarait quelque part au loin, jetant un regard indécis sur ma vie.

Rapport de récolte :

Silence gagne 15 bois de sureaux et 5 points de métier.

Conseils pour le RP : Rien à redire !

C'était étrange comment, depuis que Lokyem avait rencontré Stupide Chose, son fidèle Hydro Cino, il avait changé. A la moindre blessure, ce dernier accourait pour le soigner, quelque soit la gravité de la blessure, c'en était presque agaçant, parfois, de se sentir ainsi... assisté. Néanmoins, le pirate se rendait compte que, de plus en plus, il se reposait sur son petit dragon, plutôt que de faire attention à lui. Se blesser ne paraissait plus autant important. Alors dans tout ce que l'abyssal faisait, le danger rentrait de moins en moins dans l'équation, puisqu'il savait que tout ceci n'était que de l'ordre du réversible.
Même sur des actions simples comme couper du bois, il se sentait différent. Plus rapide, plus inconscient, plus je m'en foutiste.

Rapport de récolte :

Lokyem gagne 20 bois de sureau et 5 points de métier.

Conseils pour le RP : Rien à redire !

Le bois craqua avant de tomber sur le tapis d'herbe, presque indifféremment pour la nature aux alentours. Wyrm réunit plusieurs poignées de rameaux de sureau et à l'aide d'une ficelle, constitua un solide ballot qui alla aussitôt rejoindre un petit tas déjà formé.
Encore une dizaine.
Le stryge blanc attrapa le manche de son outil avant d'aller examiner de nouveaux arbustes. Mais ceux-ci étant trop jeunes encore, il lui fallut changer de lieu.

Le soleil se couchait doucement lorsque Wyrm eut terminé son travail. La sueur inondait sa chemise courte -il n'allait tout de même pas sacrifier sa tenue de ménestrel- et faisait luire sa peau sous les derniers rayons. Il souffla. Le temps n'était pas encore au repos : il devait aller livrer ces sureaux avant d'endosser comme chaque soir son masque et sa mandoline.

J'avais les pensées confuses... confuses à cause de la chaleur... confuses à cause d'un certain stryge... confuse par ma confusion... Sous mes yeux, ma hachette dansait... Ratait sa cible... La touchait... Ratait la suivante... et ainsi de suite.
Je titubai vers une souche.
Un long soupir franchi mes lèvres tandis que le monde reprenait un peu plus de stabilité. Diantre, ne pouvait-on travailler avec l'esprit aussi perturbé ! Voilà une demi journée, voire plus, que j'essayais de bûcheronner... Sans vraiment de succès, pensai-je en coulant un regard vers les quelques pauvres branches réunies.

Peut-être devrai-je me mettre à la cueillette, ha !
Il se disait au village que les baies de ces arbustes avaient quelques utilités médicinales ou magiques : pour le second point, je ne pouvais guère l'affirmer, mais le premier m'intriguait. Puisque j'avais la faculté d'alléger la souffrance mentale des gens, pourquoi ne pas m'intéresser à l'aspect physique ?
Car au final, mon talent de télépathie ne soignait guère les maux. Il faisait germer les graines de la folie, au mieux.

Je soupirai une nouvelle fois.
A me disperser ainsi, je n'aurai jamais terminé avant le soir...

Rapport de récolte :

Wyrm gagne 20 bois de sureau et 5 points de métier.

Conseils pour le RP : Rien à redire !


Rapport de récolte :

Silence gagne 15 bois de sureau et 5 points de métier.

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En cette belle journée de printemps, Izufal marchait tranquillement dans la forêt de Sylfaën. Cette forêt ... Un vrai petit coin de paradis. Chênes, châtaigner, sapins, ifs, noisetiers et bien d'autre se côtoyaient dans un foisonnement inextricable de verdure, entourant les repaires de renards et les ruisseaux où des poissons multicolores sautaient pour remonter plus en amont, au loin, on pouvait apercevoir les somptueuses clairières où les quadrupèdes aimaient aller galoper.

Hélas, aussi beau que fut ce jour, Izufal savait qu'il allait faire une chose terrible.

Dans sa quête de découverte de toute la nature de Dùralas, le centaure avait besoin d'une chose dont il n'avait jamais eu besoin dans sa vie, ce que les pirates et certains abyssaux convoitent plus que tout, l'or. Cet or, Izufal en avait besoin afin de pouvoir acheter avant tout son livre de bord où il écrirait toutes ses découvertes sur tel ou tel bio système.

Le druide s'approchant de l'arbre qui serra sacrifié, commença tout d'abord à lui parler, ayant tellement honte de ce qu'il allait faire, il s'excusa auprès du végétal. Izufal expliqua ensuite la situation aux animaux du tronc et au tronc lui même la raison de son geste. Il accompagna alors tout ses animaux dans leur nouvelle demeure à quelques pas de leur ancienne maison.

Le druide s'avança alors au pied de l'arbre compréhensif, se mit à genou et commença son incantation en langue du vieux parler. Une fois l'incantation terminer. Izufal se leva et plongea sa main au centre même de l'arbre, là ou l'âme même de cet être battait. Une fois saisit. Le druide l'arracha et le végétal tomba au sol.

Rapport de récolte :

Shakti gagne 5 bois de sureau et 5 points de métier et 1 essence sylvestre bonus

Conseils pour le RP : Rien à redire !


Rapport de récolte :

izufal gagne 5 bois de sureau et 5 points de métier et 1 minerai d'adamantium bonus

Conseils pour le RP : Rien à redire !

Wyrm noua d'une main devenue experte le paquet de sureau. Il avait petit à petit intégré les gestes du métier et ses efforts commençaient à se voir sur son physique tant que ses gestes plus précis. La carrure frêle du stryge s'était épaissie, il avait également gagné en stabilité... Et d'autre part, il avait pu renouer avec la nature qui se trouvait être la plus grande de ses muses. Maintes chansons étaient nées de ses longs temps à bûcheronner dans le coin ; mais bientôt, il devrait abandonner ces sureaux pour une partie plus foisonnante de la forêt. Il se sentait prêt à attaquer de plus grands massifs maintenant.
Cette pensée en tête, il ramena les multiples bottes de sureaux et les chargea dans la charrette. Il lui restait bien du temps avant la prochaine livraison fixée au crépuscule mais étrangement, il ne se sentait pas l'âme de rester trainer ici, à contempler les arbres.

Rapport de récolte :

Wyrm gagne 20 bois de sureau et 5 points de métier. Il passe apprenti.
Conseils pour le RP : Rien à redire !

Grâce aux bois qu’il a pu vendre grâce à sa première récolte, Izufal s’acheta deux gros livres. Le premier servira à écrire les renseignements relatifs à la faune et dans le second les informations relatives à la flore de Dùralas.

Cependant, le druide voulait mélanger son travail d’exploitant forestier avec la protection de la terre. C’est pour cela qu’il choisit de partir en direction de la forêt torturée, interface entre la forêt de Sylfaën et les marais de Hukutav. Le semi-équidé choisit cette forêt car on raconte que depuis maintenant quelques mois, ce bois était habité par des morts-vivants. Izufal n’en croyait pas un mot, selon lui, l’écosystème de ce lieu a été bouleversé par quelqu’un ou quelque chose. Il allait donc rétablir l’écosystème de ce lieu en purifiant la terre de ce lieu et en éliminant les êtres qu’il ne pourra sauver.

Le centaure sentit au fur et à mesure qu’il avançait vers sa destination que l’air devenait de plus en plus nauséabond. Une fois arrivé, il vit que l’herbe habituellement d’un vert chatoyant laissait place à de l’herbe morte et stérile. Le centaure vit des dépouilles d’animaux inanimés, les arbres eux-mêmes avaient du mal à survivre dans un tel lieu. Plus Izufal s’approchait au centre, plus l’air devenait suffocant, mais le semi-équidé continua sa progression entre ses arbres rongés par se qui semblait être un dégagement gazeux. Le centaure vit alors une boue grisâtre, il comprit aussitôt qu’elle était la cause de toute cette dévastation. Le druide, dont ses forces commençaient à diminuer, débuta la purification, il s’entoura d’un écran protecteur et plongea ses paumes dans le liquide nauséabond. Les cris d’Izufal se firent entendre dans toute la forêt, malgré ses douleurs, le protecteur continua. La boue laissa bientôt place à un parterre de trèfle à quatre feuilles. Le druide continua alors de transférait sa force vital à la terre afin de s’assurer qu’aucune corruption ne soit encore à l’œuvre en ce lieu. Sa force vital étant bien sapé, Izufal stoppa son incantation et fit disparaître l’écran protecteur qui l’entouré. Il vit qu’une majorité de la forêt avait reprit ses couleurs et sa vie mais une autre partie avait été trop touché pour revivre. Il fallait laisser à présent le temps à la nature de se régénérer.

La présence de cette boue intrigua beaucoup le semi-équidé mais il était trop exténué pour poursuivre son investigation. Il la continuera plus tard.

Il s’approcha plutôt d’un arbre mort de la corruption. Son bois était encore d’une excellente qualité.

Spoiler:

Izufal avait fait beaucoup de recherche depuis son périple dans la forêt torturée mais ses recherches furent toutes infructueuses.

Le centaure ne se laissa pas abattre pour autant et continua ses recherches dès lors que son inspection hebdomadaire de la forêt de Sylfaën sera terminée.

Il partit donc en direction de la forêt torturée pour commencer son inspection. Sur place, la végétation ne s’était toujours pas complètement remise et les animaux revenais en ce lieu timidement.

Malgré l’intervention d’Izufal, de nombreux arbres moururent. Le druide s’approcha d’un chêne survivant et lui parla en langue du vieux parler. Lors de cet échange fort long, le chêne apprit à Izufal qu’une créature étrangère de la forêt avait déversé cette boue grisâtre avant de s’enfuir. Pour tout détail, l’ombre possédait un médaillon représentant un lion aux yeux rouges écarlates. Le centaure prit bien cette information en note et remercia le chêne.
Avant de continuer ses recherches, le centaure examina tout les arbres morts de la forêt. Il y en avait beaucoup mais d’un bois de qualité médiocre. Peut-être qu’un marchand privilégiera la quantité à la qualité.

Rapport de récolte :

Izufal gagne 10 bois de sureau et 10 points de métier+ 1 minerai d'adamantium pour un bon rp !

Conseils pour le RP : Rien à redire !

Rapport de récolte :

Shakti gagne 5 bois de sureau et 5 points de métier.

Conseils pour le RP : Rien à redire !

Izufal chercha des informations sur un ordre arborant comme signe un lion aux yeux rouges. Mais il ne trouva rien de concret, quelques seigneurs de Kastalinn avait bien un lion comme emblème mais il ne répondait pas à la description que lui avait donné le chêne.

Perdu dans ses recherches, le centaure les laissa de côté et partit effectuer son inspection hebdomadaire des bois. Il partit en direction du Nord.

Le druide avait un être cher qui vivait dans les forêts du Nord, cet être n’était autre qu’Elwë, la nymphe qui la recueillit lorsqu’il était encore qu’un bambin. Voulant lui rendre visite, il se dirigea vers le saule où la nymphe avait élu domicile. Cependant il ne la trouva guère. Pensant qu’elle-même inspecter la forêt, le centaure commença à ramasser des branches en attendant que sa tutrice revienne. Le druide savait que cela pouvait prendre des jours avant qu’elle ne revienne.