Sigrun entra chez un marchand d’armes qu’elle connaissait de vue ; il visitait assez régulièrement son banquier. Ainsi il leur était arrivés de se croiser dans l'antichambre du bureau ou aux caisses.

- Bonjour ! lança t-elle gaiment à la cantonade en poussant la porte.

- Dis donc, toi !  Tu ne serais pas apparentée à un gredin qui tient une banque ? Fortenclume ?

- Si fait. Je suis sa fille.

Ça partait mal. Le nain la fixait avec une méfiance non dissimilée. Ses sourcils broussailleux se fronçaient de plus en plus, formant une barre menaçante au-dessus de ses yeux sombres.

- Et pourquoi t’es là alors, hein ? Me proposer un nouveau taux d’intérêt ? Estimer le prix de ma boutique pour une hypothèque ?

Le nain faisait craquer les phalanges de ses doigts. Sigrun recula d’un pas en direction de la sortie, impressionnée par son air mauvais. Jamais il ne pourrait croire que la jeune naine était en quête d’équipement pour se lancer à l’aventure. D’ailleurs, une fille en goguette, ça ne court pas les rues. Non, il penserait plutôt à une expédition en reconnaissance pour une quelconque opération bancaire. Les affaires ne semblaient pas florissantes et le commerçant en voulait à son créancier, qui, malheureusement, se trouvait être le père de sa cliente.

- C’est pour… Pour un cadeau. Mentit-elle pour couper court à toute querelle naissante qui pourrait mal tourner.

- Ah bon ! Fallait le dire tout de suite ma petite dame. Je vous laisse choisir.

Le boutiquier se campa devant son comptoir, scrutant chacun des gestes de Sigrun qui osait à peine manipuler les objets devant elle. Après quelques minutes d’un silence lourd, elle se tourna poliment vers lui en désignant du doigt les objets qu’elle avait sélectionnés.  

- Je vais vous acheter une paire de sandales, une hachette et cette armure de plates.

- Ça vous fera 37 pièces d’or.

- D’accord, tenez. Dit-elle sans marchandage inutile en l’occurrence. Je vais prendre tout cela sous le bras, pas la peine d’empaqueter. Bonne journée !

Elle lui tourna le dos et d’un pas raide mais digne, quitta l’échoppe en se promettant de ne plus jamais y retourner.

Le jour, Mal dormi, et mal réveiller. J'ai encore un peu mal au dos. Au moins, un point positif, l'aubergiste est habituer à accueillir des stryges. les couloirs sont larges, bien qu'un peu bas, et le lit peut aller.

J'ai pût manger un bout, et me revigorer. C'est déjà ça. Maintenant il me faut de l'équipement. C'est bien beau de vouloir voyager, mais sans quoi me défendre, je n'irais pas loin. Je ne crois pas qu'un stryge soit bien impressionnant aujourd'hui, surtout pas un jeune stryge de ma carrure. Demandant à l'aubergiste, ou je peut me trouver cela, je le paye de suite pour la nuit, et je part dans la direction donné.

Apparemment je ne me suis pas trompé. J'ai trouver l'endroit. Après être rentré dans le batiment, je vois au fond un homme habiller de temps de choses que je ne pourrait pas tout décrire autour de lui, des centaines d'armes, d'équipement en tout genre. Tant d'objets de guerre, que je ne peux m’empêcher de sourire.
Malgré mon enthousiasme, je ne sais manier aucune arme. Ceci me facilite donc la tâche.

Je lui demande une dague de novice, et une armure de cuir. Histoire d'encaisser un coup ou deux. Je lui donne ses 42 pièces, et je pars. Inutile de rester plus longtemps.

Le stryge pénétra dans la boutique d'un pas silencieux. Il n'aimait pas créer de remous sur son passage. Sa main lâcha la poignée tournée de la porte pour aller caresser les quelques armes laissée en exposition : dagues, arcs, épées, haches... Tout cet univers ne lui était que guère familier -il préférait laisser aux rustres les tentations du combat : la musique lui suffisait. Mais ne sait-on jamais. Il s'était fait avoir une fois, songea-t-il alors que la vieille douleur de son dos s'éveilla.
Il ne manquerait de prudence à l'avenir. Car bien qu'il ne tienne vraiment à la vie, cela l'agacerait de faciliter la tâche des autres.

Il attrapa une dague, joua avec pour soupeser son poids et tester son équilibre avant de la reposer. Trop lourde pour son poignet peu musclé. Mais la suivante lui parut convenir cette fois. Il ne s'y connaissait pas assez pour être sûr de son propre jugement cependant, comme qui dirait, il faut expérimenter.
Il choisit en plus une armure légère et déposa le tout sur le comptoir :

"Je vous prendrai cette airmure et cette dague de novice."

La nuit était tombée, et elle n'avait pas envie d'attendre que le jour se lève pour faire ses achats, elle s'introduise donc dans la boutique, par le toit, pris ce quelle avaient besoins et lassa le payement sur la table avec un mot.
Le lendemain, le marchand fu intrigué par une armure laissée sur son comptoir, avec de l'argent, mais ne trouva pas sa poussi'faux, ni son armure de lierre qui était en vitrine, avant de voir ce fameux mot et rigola un bon coup
" ouvrer la nuit et je ne passe plus par votre toit ! "

[ Achète : - poussi'faux
               - cuirasse de lierre

 Vends :     - armure de cuir ]

Alissa était enfin arrivée à BaldorHeim. Elle entra dans la boutique d'arme. Un peu de neige recouvrait ses épaules et sa capuche. Ses bottes étant très abîmées, elle décida d'en acheter de nouvelles. Elle se dirigea vers le comptoir quand elle vit trois objet sur une étagère, une Dagu'd'Argnan, une Cuirasse de Lierre et des Bottes de Cuir, avec un écriteau : "ensemble pour 253po."

- Bonjour, j'aimerais acheter cet ensemble.

- Vous êtes sûre ? Cette dague n'est pas un jouet vous savez ? A votre âge ...

En effet Alissa ne paraissait avoir que 17ans. Elle lui lança un regard noir et menaçant et sourit de manière à ce que le marchand aperçoive ses canines.

- Je suis bien plus vieille que vous et je sais manier les lames. Alors vends moi cet ensemble !

- T... Très bien, excusez moi. Tenez.

Une bourse d'or tomba devant le vendeur et Alissa partit avec ses achats, vexée.

-Chrysarmure : 60 de vitalité; -10 de vitesse ; coût : 36 pièces d'or
-Sandales/fers à chèvre : +18 vitesse ; coût : 15 Pièces d'or
-épée brisée : 5 dégâts ; -12 vitesse ; coût : 10 pièces d'or



l'intérieur de BaldorHeim était vraiment plus... chic que l'extérieur.
Surveillé en continue par les gardes Kazhariens, je n'aimerais pas finir entre deux en tout cas.
J'avais gagner quelques sous, je voulais donc m'acheter un équipement digne de ce nom, après tout je ne peux pas soigner si je suis mort de froid.
Et je commence a croire qu'ici le froid fait partit de la vie..
je m’arrêtais devant une boutique ou un vieil homme bedonnant criais a s'en décrocher les cordes vocales :

« ARMES ! BOUCLIER!ARMURE ! NOUS AVONS TOUS SE QU'IL VOUS FAUT ! ENTREZ ET TROUVEZ VOTRE BONHEUR ! »

la moustache comme sa chevelure était ébouriffé, rousse et salle se qui ne donnait pas vraiment envie de le croire, mais dans ma situation j'ai l'impréssion que je nais pas le choix.
J'entrais donc dans la boutique et commença a fouiller pour voir se qu'il me plaît , a droite, a gauche, rien de vraiment spécial.
Je me rendis donc devant l'homme vendeur et lui posa la question :

« j'ai une petite somme d'argent, je veux une armure plutôt lourde, des chaussures car les miennes ont... rendu l’âme, et une chose pour me défendre »

l'homme ne dit pas un mot, c'est sur que ce n'est pas l’amabilité qui l’étouffera, néanmoins il revint avec un attirail et me présenta plusieurs produits :

« je vais prendre cette armure, ces sandales et cette épée »

il se contenta juste de me donner le prix et d'encaisser...

Reek franchit le pas de la porte un sourire immense aux lèvres. Il était épuisé par sa journée de travail la veille et par sa nuit blanche à force d’excitation concernant les achats de ce jour. Il avait préparé dans un sac ses dagues émoussées et son armure de cuir pour lerevendre.

Il alla tout de suite voir cette griffe, cette fameuse, qui le faisait rêver tout debout. Il la contempla, la saisit et la caressa avant de la passer à son poing droit... Parfait ! Puis il erra un moment d'une armure à l'autre, vers les casques, les boucliers (qu'est-ce ça devait être encombrant ces machins) et les bottes. Il compta ses pièces, ce qui lui fit un peu mal au crâne et calcula ce qui lui resterait une fois l'essentiellement griffe achetée, ce qui lui fit beaucoup mal au crâne.

Il finit par se décider et il vint alors poser sur le comptoir ce qu'il avait choisit :

- Eh bonjour. Vous me reprenez ça pour combien ? dit-il en tenant le sac devant le vendeur. Très bien. Du coup je vous prends ça, ça et... ça.


Achat : 1xgriffe 'knot, 1x armure Oseau, 1xBottes de cuir
Vente : 2xdague emoussé, 1xarmure de cuir

depuis que la comtesse nous avait fait entrer les gardes ne me regardez plu de travers, je ne sais pas si cela est du a elle ou a ma nouvelle armure bien plus propre que mes vieux habits, mais j'avais encore besoin d'équipement, donc je suis allé a la boutique ou j'avais acheté mes derniers équipements.
la boutique n'avais pas bougé d'un pouce et l'homme non plu a voir sa posture, il était avachis contre son comptoir et regardais du mauvais œil tout les gens qui passaient sans s'arrêter.

"bien le bonjour, je suis venus il y a quelques temps et vos équipements sont bien solide, j'ai donc décider de revenir acheter le reste ici"

il se tourna vers moi et me dit a peu près ça

"GNE hé alors?! il veut quoi le monsieur?"

ok c'est pas aujourd'hui qu'il va apprendre a apprendre a bien parler...

"ce casque et les bottes la"

il posa ma commande sur le comptoir:

"186 pièce d'or"

je donnais le montant demandé et partis avec mon nouveau équipement.


-casque Wilfish : 15 de vitalité ; coût : 36 pièces d'or
-Bot'aria/Fers Rossïnge : +72 vitesse ; coût : 150 pièces d'or

Aktara après de longues recherches au fond de la mer, ramassa un maigre butin. Il décida de s'acheter des bottes qui augmenterait un peu plus sa vitesse. La rapidité est un atout non négligeable, surtout lorsqu'il s'agit de courir plus vite pour échapper aux affronts d'ennemis redoutables ou de voler un trésor sans se faire remarquer...
Il entra dans une boutique qui lui paru fort sympathique.

- Bonjour, je souhaiterais acheter des Bottes de cuir/Fers à cheval s'il vous plait.

Il posa ses pièces d'or pleine de vase sur le comptoir et les contempla une dernière fois.

Laora, après ses heures de marche a explorer le continent, arriva à BaldorHeim dans le but de s'acheter de nouvelle bottes, les siennes étant légèrement usées par le voyage. Elle entra dans dans la première boutique qu'elle vit et s'approcha du comptoir. Le marchand était un nain avec une énorme barbe brune, tressée et était en train de discuter avec une charmante humaine assez légèrement vêtue pour le climat hivernal des montagne du Baldor. Le marchand n'avait que faire de Laora, il ne l'avait pas remarquée. Elle posa ses Kikourvit sur le comptoir.

- Hum hum.. Excusez moi ?

Aucune réponse, le nain portait toute son attention sur la femme à ses cotés. Son regard faisait des allés-retours entre les yeux de la belle et sa poitrine. L'abyssale, commençant à être ennuyée par le comportement du nain hurla.

- OH ! J'aimerais effectuer une transaction !

Le nain se tourna vers elle, les yeux grand ouverts.

- Un problème ?

- Je voudrais vous échanger ses bottes contre de Bot'aria.

- Hm .. Très bien, je vais vous chercher ça.

En allant chercher les bottes, il porta un regard explicite à l'humaine. Il revint quelque minutes plus tard, avec ce qu'avait demandé l'abyssale.

- Donc je vous reprend vos bottes à 48 pièces d'or et je vend celles ci à 150 pièces d'or. Cela vous fera 102 pièces d'or, s'il vous plaît.

- Tenez.

Laora posa une bourse d'or sur le comptoir et enfila ses nouvelles bottes, le nain était déja retournée à femme et ne prêtait plus attention à Laora.

- Au revoir ! ... Pervers.

Aucune réponse et l'abyssale sortit de la boutique.

- Vous vous foutez de moi ?!

Alissa rentra dans la boutique et donnant un coup de pied dans la porte et se rua vers le vendeur. Elle était très énervée et brandissait une dague au dessus d'elle.

- Il y a six mois je suis venue ici pour vous acheter cette dague. Et là, que vois-je ?

Alissa approcha la lame de la dague des yeux du vendeur en pointant du doigt un point précis de cette dernière.

- Une tâche de sang séché ?! Vous trouvait ça normal vous, qu'une dague accroche tellement que, même en l'essuyant, le sang ne parte pas ?

Alissa planta la dague dans le comptoir.

- J'exige un remboursement !

Une fois la bourse d'or rendue, Alissa ressortit de la boutique.

-Escroc !

[vends Dagu'dargnan]