Hildegarde travaille à l’entretient de l’église des bas quartiers, travaillant à la forge sur une faux agricole, afin de lui rendre un tranchant relativement précis. Ainsi fait, la Jeune femme, prend le temps de resserrer les bandages à ses tibias.

Remontant ainsi la route, vers la sortie de la capitale, elle pose ses yeux sur une Jeune et Jolie noble, qui l’attire du regard à chaque fois qu’elle a la chance de la croisée. Etant attirer par son apparence, qu’elle considère comme quasi divin, la jeune Nonne hésite à l’interpeller pour lui parler.

Partant de son côtés pour aller travailler, Hilda s’active efficacement à la tâche qu’on lui a assigner de traiter diffèrent champs agricole, envahis par les mauvaise herbe, Hilda renforce ainsi ca dextérité avec la faux, laissant entrevoir aucune hésitation dans chaque mouvements, progressant relativement vite.

Revenant vers Stellaraë, elle prend place sur un rocher, pour admirer le Paysage, ce grand désert a perte de vue, au tomber de la Nuit, une scène Magnifique qu’elle aime beaucoup Analysé, pour finalement pouvoir Observer les étoiles, si le temps ce montre clément.

Tout un coup, elle voit alors la Jeune Demoiselle, celle qui lui accapare toute son attention. Passant devant Hildegarde, l’observant alors, curieuse, passant, laissant alors leurs yeux ce croisé pour la toute première fois, depuis ces trois derniers mois.

La Noble demoiselle, ne s’arrête donc pas, bien qu’elle soit elle aussi remarquer la présence de cette jeune Nonne, au pieds nu. Elle continue son chemin, en direction de Stellaraë, sous les yeux conquis d’Hilda, qui hésite grandement à lui courir après, totalement pris par l’envie de la connaitre.

Après une prise de décision, elle saute alors de son rocher, faux à l’épaule, courant alors pour rattraper cette jeune Demoiselle, à toutes enjamber, éprit d’un désire certain de pouvoir lui adressé ne serait-ce que quelque mot pour sa satisfaction personnelle.

C’est haletant, qu’elle rattrape la Jeune et Noble Demoiselle, ce qui n’est pas très gracieux pour une rencontre officielle, mais Soit, la Jeune Nonne n’en a que faire, souhaitant dépasser sa curiosité et sa Phobie Sociale, Elle parvient alors à lancer ces quelques mots au visage de la femme de ses plus grands désirs.

« Bonsoir, Mademoiselle. Je voulais vous adresser la parole, depuis longtemps et… » Bafouille-t-elle, perdu dans un flot ininterrompu d’envie et de pensée. La pauvre Hilda ne sait quoi dire, ayant peur de ressembler à une femme ennuyante et étrange. Surtout sa voix semble faible, et timide, cherchant désespérément à se faire entendre.

« Vous trembler déjà, ma Sœur, après tout ce qu’il vous a fallu comme courage ? » Dit-elle, en s’immobilisant face à Hilda, se tournant vers elle, pour lui témoigner alors d’un sourire des plus Divin et gracieux.

c’est les yeux brillants, qu’elle observe alors cette Noble demoiselle, qui fait battre son cœur, d’une puissance-t-elle que notre protagoniste reste complétement silencieuse, totalement impressionner et Incapable de rétorquer un moindre mot.

« Voyons ma Sœur, il ne faut pas vous mettre ainsi, dans tous vos états pour moi, je ne suis qu’une banale Demoiselle. Finit-elle par lancer, brisant le silence. Nous nous croisons depuis plusieurs semaines n’est-ce pas ? Qu’avez-vous tant à me dire pour être ainsi tétanisé ? »

Lance t’elle a Hildegarde, le regard extrêmement bienveillant, passant alors sa main sur l’épaule de la Noble, pour la réconforter, calmer, afin de débloquer cette bien amusante situation.

Levant alors les yeux, ce faisant fureur pour réussir à s’exprimer, la Nonne réplique brièvement : « M’avez-vous ensorcelée ? »
Riant poliment a cette remarque, la Noble réponds :
« Bien évidemment que non, ma sœur, cela doit plutôt venir de vous, et vous seule. »
Le regard de la noble et bien évidement toujours des plus chaleureux et bienveillant. Invitant alors cette jeune Nonne à l’accompagner, sur le chemin du retour.

« Je m’appelle Hildegarde, Sœur Hildegarde. » Dit-elle, humblement.
« Je suis très heureuse d’enfin connaitre votre nom ma Sœur, Je me prénomme Milfanito de Vidonne. »

Le temps s’arrête autour d’Hilda, maintenant assurer qu’elle est une Noble. Bien qu’elle ne connaisse rien d’autre de cette personne qu’elle admire tant. Elle continue à lui adresser des coups d’œil intéressé. Admirant cette beauté éclatante par accoup.

« Vous égayer mes journée, Mademoiselle, je voulais vraiment vous remercier pour cela. » Regagnant alors un sourire des plus éblouissant, Milfanito rétorque : « Remercier donc les dieux d’avoir rendu cela possible. Voyez-vous, Ma sœur, cela fait bien des semaines que j’ai remarquer votre intérêt pour moi, et j’était des plus curieuse quant a votre intérêt croissant envers mon Humble personne. Mais pourquoi donc, suis-je cette personne qui égaie vos journées ? »

Face a cette question, Hilda baisse la tête, comme si elle s’est prise un terrible coup de Massu, sa timidité qui régit sa vie, l’écrasant à nouveau, réfléchie longuement au sens de cette question, car elle n’a rien senti de semblable, depuis longtemps. Même quand elle a commencé à voler la bourse des gens, ou pénétrer par effraction dans la demeure d’autrui, afin de dérober des Objets somptueux et de valeur, elle n’a jamais ressenti ce besoin de se rapprocher d’une personne.

Prenant alors une brève respiration, elle se lance : « Jusqu’à présent, je ne m’intéresser a rien d’autre que ma survie… Faisant mes devoirs Religieux, avec fierté. C’est tout, Mademoiselle. »

Lançant ces mots, comme une bouteille a la mer, gardant espoir que Milfanito accepte alors son envie de se rapprocher d’elle.

« Revoyons-nous, alors, demain, d’accord ma Sœur ? » Réplique Milfanito, sourire éclatant, le coucher de soleil derrière sa silhouette, magnifiant sa personnalité des plus intrigante.