Qui c'est que t'es en vrai?
Pseudo : Ama !
Âge : 26 ans, presque 27 ! (en espérant, être dans la bonne tranche d'âge xD)
Classe/métier : Aide-soignante x)
Hobbies/activités : regarder des séries à la c... sur Netflix, jouer avec mon fils, tenter de faire des maki x)
Couleur préférée : Orange !
Opinion sur le forum : J'ai eu un peu de mal à y naviguer, mais finalement j'ai été conquise ! Complêtement ! (Enfin je peux la poster *-*)
Comment as-tu connu ce forum ? Je ne sais plus si c'est par un partenaire ou dans un annuaire x)
Oh je vois... et ton personnage ?
Nom : Chal'di
Âge : 103 ans
Sexe : Féminin
Race : Elfe/lycanthrope
Classe envisagée : Virtuose ou Guérisseuse.
Ce qu'il aime : La nature évidement, le bruit de l'eau, les saule pleureurs, le vent, les fruits, les regards silencieux, le calme, la découverte de nouvelle chose, les odeurs, la viande, la musique.
Ce qu'il n'aime pas : La pleine lune, les nains, que l'on se joue d'elle, les personnes qui se font un avis trop rapidement, les objets tranchants, la viande, ...
Situation amoureuse : Célibataire
Code du règlement :
Carotte râpée - validé par Dilon
Voie Standard ou Voie Spécialisée ? Standard
{Facultatif} Un pouvoir particulier ? Anti-douleur : Elle atténue la douleur en approchant ses mains. Elle ne guerrie pas mais faire taire la douleur pendant un petit temps, par exemple le temps de recoudre une plaie. Plus elle garde ce "contacte" longtemps plus elle se fatigue et ressent des picotements. D'abord sur la paume des mains puis cela remonte dans ses bras.
Et du coup, tu ressembles à quoi?
Amaryelle est une elfe particulière. C'est ce qu'elle a toujours entendu dire lorsqu'on parlait d'elle. Dans la moyenne, elle mesure un bon mètre soixante quinze, ce n'est pas l'exacte moyenne mais la jeune femme n'est pas exactement une elfe ! Elle possède bien deux longues oreilles pointu et une silhouette svelte. Elle est plus endurante sur la durée et ne pèse pas lourd en comparaison à d'autres. Elle sait grimper dans les arbres, et pour cela, sa musculature est plutôt fine. Les traits de son visage montre également son appartenance aux elfes, il sont fins. Elle a de très long cheveux blonds qui se dégradent sur le devant et cache en partie son visage. La jeune femme a des yeux bleus clairs et une bouche finement dessiné et rosé.
Tout ces petits détails elfique sont entachés par sa capacité à changer de forme. Elle peut, même si elle le fait rarement, devenir une louve. Sa forme totalement animal est plutôt classique. Son pelage est blanc, noir avec du parsemage roux et brun. Sa forme intermédiaire.. Elle ne la connait pas, elle sait juste qu'elle n'est pas plus grande que d'habitude mais qu'elle double de volume.
Elle ne porte pas de bijoux, ne s'attache pas les cheveux sauf quand elle execute une tâche pénible et dans ses cas là, elle a la facheuse manie de tirer la langue. Amaryelle s'habille plutôt comme les haut-elfes même si elle se sent plus proche des sylvains.
Et... tu penses à quoi, là, maintenant?
Amaryelle n'est pas très simple à cerner. Les événements de son enfance l'ont rendu discrète, et maintenant elle ne souhaite qu'être invisible et passer inaperçu, C'est pour cela qu'elle s'isole souvent. Elle n'est pas du tout à l'aise en public, pensant toujours qu'on va voir sa différence qu'elle prend comme un handicap. Ainsi, elle préférera jouer sa musique quand elle est seule. Elle préfère la solitude mais ne refuse pas la compagnie si celle-ci n'est pas invasive. Il faut avouer qu'elle a peur du contacte. Elle craindra les nouvelles rencontres, ne sachant jamais si elles sont sincères ou non. Elle est plutôt méfiante mais à coté de ça, elle est curieuse et à envie d'apprendre. Cependant, elle ne veut pas apprendre dans les livres... C'est plutôt au court de ses potentiels voyages, de la vraie vie. Elle pense qu'être assise devant des bouquins ne renseignent pas suffisament.
L'elfe est un peu naïve, elle pense que tout peut s'arranger et s'améliorer que ce soit de sa volonté ou avec le temps. En effet, elle a beaucoup de mal à être rancunière. Défaut ? Qualité ? On ne saurait dire, mais elle pardonne toujours à un moment ou un autre. Elle se dit que vu la longueur de sa vie, ce n'est pas la peine de s'encombrer de rancœur.
De manière générale, on dit d'elle qu'elle est douce, à l'écoute et très souriante, quoiqu'un peu trop effacée. Elle est plutôt rêveuse et se fait souvent surprendre au dernier moment par les événements extérieurs. La jeune femme est aussi susceptible, elle n'aime pas échouer, ou que l'on se moque d'elle à ses dépends.
Elle a peur de montrer sa forme animal et de toute ce qui concerne sa lycanthropie, ayant très souvent entendu que ce n'était « pas normale » qu'elle puisse faire ça. Complexé par rapport à ça, elle ne devient quasiment jamais louve. Sauf quand l'appel de la lune est là, dans ces cas là elle ne peut rien faire. Amaryelle est également perdue, elle a du mal à gérer son envie de viande et les regards de sa famille qui proscrit toute alimentation animal. Elle aime la nature, et serait la première à défendre ceux qui y vivent mais l'animal en elle a énormément besoin de viande. C'est pour ça qu'elle donne souvent l'impression de toujours avoir faim.
Finalement, Amaryelle ne sait pas réellement se positionner. Elle a été éducté de manière à être une elfe, alors que ses pulsions la guide vers un tout autre chemin.
Hum... Je vois... Mais dis moi, c'est quoi ton histoire?
Comment commencer mon histoire, par le début me direz vous, et bien oui, mais je dois d'abord vous raconter celle de mes parents. Elle seule pourrait prendre toute la place, mais je me contenterais des grandes lignes.
Ma mère était l'une des deux filles d'un couple d'Haut-Elfe. Elle, comme eux, aimait s'instruire et instruire les autres. La seule différence avec les autres de son âge, c'est que ses parents lui donnaient de fausse idée sur les autres peuples. Pour eux, rien n'était mieux qu'un elfe, et tout être était inférieur à leur propre caste. Ils avaient le savoir alors que les autres, n'étaient que peu développé. Du coup, ma mère et sa sœur étaient comme eux, fermé aux autres et plutôt étroit d'esprit.
C'est lors d'une de ses rares sorties à la poursuite d'un compagnon animal qu'elle rencontra pour la première fois mon père. Un loup qu'elle blessa aussitôt par peur. Déjà à ce moment là, ses idéaux vacillaient, l'une de ses rares amies lui racontant ses rencontres enrichissantes lors d'un voyage à Kastalinn. Mais ce n'est que lors de sa seconde rencontre qu'elle lui parla. Sa forme humaine était blessé, et ma mère voulu le soigner. Elle avait caché à mes grand-parents sont existence, elle avait très peur de leur réaction.
Ils ne mirent pas des années avant de tomber amoureux l'un de l'autre, ma mère passait tout son temps libre avec mon père et quand ils commencèrent réellement à vivre leur passion, ma tante les découvrit. Je crois que ce fut le plus difficile pour mes parents : se défendre devant des elfes complètement fermé à la diversité. Mais l'amour qui était entre eux était si fort que mes parents s’enfuyaient pour vivre leur amour loin du regard dégoûter de mes grand-parents.Leur cohabitation était vraiment difficile car ma mère était végétarienne et mon père non. C'est peut-être ça qui les a ronger, qui leur mettait des bâtons dans les roues.
Quand ma mère sut qu'elle était enceinte, c'était comme un second souffle dans leur vie. Ils étaient tout les deux très heureux et quand je pointais enfin mon nez, je n'avais pas idées de tout ce qui se passerait par la suite. Les vingts premières années, je ne grandissais pas aussi vite que mon père vieillissait, et quand j'entamais ma première transformation totale en louve, il était déjà bien âgée. J'avais eut peur, je ne comprenait pas ce qu'il m'arrivait et j'avais mal dans tout mes os. Je n'avais jamais ressentit ça, et aujourd'hui encore je m'en souvient. Mon père nous a finalement quitté, j'avais alors vingt-cinq ans, et l'allure d'une fillette qui aurait eut cinq ans si elle avait été humaine.
A l'époque, je n'ai pas tellement compris ce qu'il s'était passé, mais ma mère avait tout d'un coup perdu son seul repère. Elle ne s'occupait plus de moi et en quelques semaines nous étions toute les deux que de pâles copies de nous même. Ce sont les elfes sylvains qui nous ont sauvé, ils se sont occupé de nous comme si nous étions de leur famille, et quand ma mère le pu, elle décida de nous ramener chez elle. Ou du moins, de me laisser à ses parents. Elle n'avait pas oublié ce qu'il était mais c'était eux, son dernier repère en ce monde. Peut-être qu'elle était naïve et pensait qu'ils avaient changé ou qu'ils changeraient devant moi. Mais non.
Quand je suis arrivée, ils ont tout de suite sentit que j'étais différente, qu'il ne fallait pas se fier à mon physique très semblable à celui de ma mère. Alors, je me suis sentit arrachée à ma vie libre. J'ai été enfermé pendant toutes les nuits de grandes lunes. Je n'avais pas autant de droit et de liberté que mes deux cousines. C'était de l'injustice mais j'avais fini par croire que c'était normal et que c'était de ma faute. Que je n'étais pas normal. J'avais faim, une faim que personne n'arrivait à combler, et mes grand-parents cherchaient en tout point à me rendre plus elfe que je ne l'était. Peut-être pensaient-il que sans manger de viande, la louve qui dormait en moi mourrait ? Quoi qu'il en était, j'avais peur de les décevoir et ainsi, je forçais tout mon corps à se contenter de nourriture sans viande.
Plus je grandissais, plus je ressentais de la honte. Même si mes grand-parents étaient les seuls à penser comme cela, leur avis m'importait plus que celui des autres elfes beaucoup plus tolérant. Je cachais bien mon état car jamais personne ne m'en parla. Ils devaient être fière de moi car j'eus le droit de sortir un peu plus. C'est peut-être grâce à ça que j'ai eus envie de partir.
Je n'étais pas à plaindre, j'ai eus une enfance douce, et agréable, mais l'attitude des mes grand-parents ne m'aidait pas à m'épanouir. Ils me donnaient la sensation d'être la honte de la famille. Bien sur, je ne vous parle pas de ma mère qui était elle aussi une honte. Mais elle n'était pas là. Depuis bien longtemps, elle m'avait laisser ici, chez eux pour fuir. Est ce qu'elle était égoïste, je ne sais pas, je ne la vois dans mes souvenirs que comme une femme ayant perdu l'amour de sa vie et sa raison de vivre. Certes, j'étais une partie de lui mais elle devait trouver douloureux de me voir et de le voir au travers mes yeux... où même dans mon attitude quand j'avais faim. Je crois que je ne lui en veut pas de cet abandon, enfin, peut-être un peu. Mais je me dit qu'un jour viendra, où elle reviendra vers moi et enfin on sera une famille.
C'est à mes cent ans que j'ai réellement voulu partir. J'avais la sensation d'étouffer, d'être prise dans une routine que je ne supportais plus. Me cacher à la grande lune, rester dans les hautes maisons d'Endorial, apprendre les choses de la nature, de la vie sans rien vivre, sans voir, sans toucher... J'avais vraiment ce besoin de liberté, je voulais vivre tout simplement. C'est pourquoi, petit à petit, je me suis éloignée des Hauts-Elfes. Je suis descendu vivre en bas, et en quelques mois, j'avais adopter une vie entre Endorial et la forêt. Oscillant difficilement entre ma vie Elfe et mes pulsions animal.
Mais... A-t-il un rêve?
Amaryelle rêve de trouver son paradis. L'endroit dans lequel elle pourra vivre et être elle même. Un endroit où elle n'aurait aucun compte à rendre et vivrait sans dépendre de personne. Inconsciement elle aimerait ne plus souffrir de sa lycanthropie et la vivre aussi sereinement que les autres.
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Les rêves brisés sont le terreau des rêves à venir". Pierre Bottero.