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Le Monde de Dùralas


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 [Officiel]Le Grand livre gastronomique de Dùralas

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Le Livre
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MessageSujet: [Officiel]Le Grand livre gastronomique de Dùralas   [Officiel]Le Grand livre gastronomique de Dùralas EmptyDim 15 Jan 2023 - 5:16
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Le Grand livre gastronomique de Dùralas

À toi cher lecteur qui lit ces quelques lignes, si tu parcours cet ouvrage, je sais d’ores et déjà qu’une fois sa lecture terminée, tu n’auras qu’une hâte. Exécuter le même périple que celui qui fut le mien à travers Dùralas. Si bien sûr, il existe en ce monde des plats plutôt communs que l’on peut déguster dans n’importe quelle taverne, saches que chaque région dispose de ses propres spécialités ! Il y a des aventuriers qui rêvent d’aventure et de gloire, moi je ne rêvais que d’une chose. Voyager et goûter toutes les spécialités locales pour les recenser dans un livre qui vous donnera l’eau à la bouche, j’en suis certain ! Alors asseyez-vous confortablement, et profitez du voyage…

Nord de Dùralas

Le steak de licorne nordique :

Un mets des plus savoureux, finement cuit sur un feu vif et bien entretenus accompagné de ses petits navets marinés dans le jus de cuisson, que le chef récupère dans une marmite pendant la cuisson. La viande est tendre. Personnellement, je la préfère saignante en termes de cuisson, c’est d’ailleurs comme cela que la préfèrent les habitants du Grand Nord.

La côte d’ours blanc au gras :

Là, mes amis, mieux vaut avoir sauté quelques repas pour espérer finir son assiette… C’est à réserver aux estomacs solides. La viande est longuement cuite dans sa graisse et attendrie en amont à grands coups de marteaux de guerre, sans quoi les fibres sont si serrées qu’on ne peut la déguster. C’est un plat extrêmement consistant généralement accompagné en prime de pommes de terre des fois que l’on ait encore un peu faim après avoir terminé de rogner les os… Un plat de géant sans nul doute…

Le ragoût de rhinocéros laineux :

Il faut savoir que le rhinocéros laineux correctement tué, comprendre qu’il n’a pas été stressé au moment de sa mort, offre une viande tendre et savoureuse. Les habitants de Kastalinn apprécient d’ailleurs énormément ce ragoût servi dans toutes les tavernes. La viande est cuite longuement à feu doux avec un mélange d’herbes aromatiques dont chaque chef a son secret. C’est un régal ! Je vous invite sincèrement à essayer vous serez conquis !

Le jarret de Mammouth :

Seul un géant est capable d’engloutir un jarret de mammouth seul. C’est généralement un plat qui se mange à plusieurs, découpé en fines tranches à la dague ou à l’épée et que l’on se partage entre amis pour les grandes occasions. Car son prix est assez conséquent. Il est cuit à la broche arrosée de son jus pendant au moins deux jours complets ! Personnellement, je trouve la viande de mammouth un peu dure en bouche et il faut bien mastiquer. Encore une fois, les habitants du Nord aiment les plats conviviaux et consistants. Parfois, il arrive que des concours de mangeurs de jarrets de mammouth soient organisés dans certaines tavernes. Mais ne vous y trompez pas. Le gagnant est toujours un géant…

Cuisse de Gnome et son chou farcis à la cervelle :

Bien… J’y ai goûté afin de vous fournir un ouvrage des plus complets, mais… Sachez que ce plat est normalement réservé à une clientèle sans doute un peu particulière aux mœurs alimentaires des plus discutables… Les cuisses de gnomes sont servies baignant dans un coulis de fruits des bois, accompagnées d’un chou farcis à la cervelle… Outre l’aspect peu ragoûtant de ce plat, il faut bien reconnaître que c’est assez tendre la cuisse de gnome et que ça a sensiblement un goût de lapin… Personnellement, j’ai eu bien du mal à passer outre la présentation…

Tourte d’Okapal sur son lit de cèpes :

Un des meilleurs plats qui m’ait été donné de goûter dans le Nord de Dùralas ! Imaginez-vous une tourte bien chaude qui sort tout juste du four à bois avec de la savoureuse viande d’Okapal hachée finement sur un délicieux lit de cèpes sauvages… Hmmmm… Rien qu’à écrire ces lignes, j’en ai l’eau à la bouche…

Le pâté de mouffette géante :

Nous parlons là plus d’une entrée dont le goût est plutôt… Fort et dont l’odeur est difficilement soutenable… Si vous avez un quelconque rendez-vous galant juste après, je vous déconseille vivement le pâté de Mouffette géante. Sauf si vous comptez faire fuir votre partenaire…

Griffon pygargue en crapaudine au coulis de mûres :

Cette recette, bien que très simple, est vraiment délicieuse ! Le coulis de mûres donnant à la viande un peu fade toute seule, il faut bien le dire, un goût légèrement acidulé. Dans certaines tavernes, la viande est cuite arrosée à la bière, lui donnant une légère saveur amère.

Le pied de sanglier à la bière :

L’on ne peut décemment pas passer à côté de ce grand classique de la gastronomie Dùralassienne ! Les pieds de porc sont cuits sous la braise, puis arrosés abondamment de bière brune avant qu’un carré de beurre ne vienne être déposé sur les pieds encore chaud et fumants ! Peut s’accompagner de pommes de terre ou de carottes marinées dans le jus. Peu consistant, mais très bon !

Œufs de sauteuses de basalte :

Pour les gourmets avec un estomac solide ! Si ces œufs sont extrêmement chers de par leur complexité pour s’en procurer, je dirais que le jeu en vaut la chandelle ! Car le jaune de ces œufs qui est en fait d’une couleur plutôt rouge orangée, a un goût extrêmement épicé. De quoi donner des sueurs à qui le mange. Toutefois, c’est un plat extrêmement nutritif et délicieux, simplement cuit à l’eau puis accompagné de pain frais, saupoudré d’un peu de sel marin des abysses.

Civet de lapin d'Aràn et ses petits légumes de saison :

Ahhh le civet de lapin d'Aràn. Encore un plat délicieux… De l’ail, du cognac, des herbes aromatiques et une bonne viande tendre de lapin avec de petits légumes de saison encore un peu croquants… Un pur moment de bonheur mes amis ! Ajoutez-y une bonne cervoise pour faire couler, et vous êtes prêt à repartir pour des kilomètres !

Ouest de Dùralas

Sanglier aux pommes sauce chasseur :

Là, nous sommes sur un plat familial si l’on n'est pas un géant ! Un sanglier cuit longuement à la broche arrosé de cidre accompagné de pommes confites. Le cidre donne à la viande un léger goût sucré qui contraste avec le goût fort du gibier. De quoi peut être séduire même un elfe, tant le goût en bouche est doux. La viande disposée dans un grand plat baigne ensuite dans une sauce à base d’hydromel ce qui lui donne un bel aspect nacré des plus appétissant !

Pattes de Dartiques grillées :

Un plat des plus étranges et pas vraiment appétissant à première vue. Mais le tenancier m’ayant affirmé que certains Nagas seraient prêts à se damner pour déguster des pattes de Dartique grillées, et bien, j’ai tenté l’expérience… Et le fait est que ça croustille avec un vague goût de poulet… Ce n’est pas excellent, mais je dois bien dire que je m’attendais à pire… Bref, étant humain, je ne retenterai pas l’expérience de sitôt…

Omelette forestière :

Un plat à base d’omelette d’œuf d’aigles de Baldor, d’une myriade de champignons et de quelques plantes du sanctuaire forestier de ce que j’ai pu en apprendre, car les elfes gardent jalousement le secret de cette succulente omelette. Toujours est-il qu’avec une pinte d’hydromel, j’étais aux anges mes amis !

Note de l’auteur :

Il y a bien sûr beaucoup d’autres plats typiques et délicieux dans l’Ouest de Dùralas. Mais à manger de la salade tous les jours dans la forêt elfique, j’avais peur de bien vite dépérir par manque de viande… J’ai donc été dans l’obligation de vite reprendre ma route vers d’autres contrées.

Centre de Dùralas

Aileron de requin des sables :

Gustativement parlant, c’est excellent. Le mien a été servi accompagné d’un mélange d’algues des abysses qui, si à première vue me rappelaient la salade, le petit goût iodé est une valeur ajoutée. Tout cela avec un beurre d’ail et quelques pommes de terre s’il vous plaît ! J’ai aussi eu l’occasion de goûter le requin des sables en filet avec une sauce légèrement épicée. C’est un morceau encore meilleur que l’aileron bien qu’un peu plus cher.

Côte de Buffle aux châtaignes :

Un plat de saison où il faut se présenter au bon moment donc ! Mais je ne pouvais pas rater une telle découverte culinaire en bon amoureux de la gastronomie. Après avoir dégusté un tel plat, une chose est sûre, c’est que vous roulerez sous la table. Un plat typique pour les fêtes. La force du goût de la viande de buffle, la consistance de la purée de châtaignes, prévoir quelques pintes de bon houblon pour accompagner ce repas gargantuesque et un lieu tranquille pour faire la sieste digestive ensuite…

Oreilles de Fennec :

Plus une entrée qu’un véritable plat. Histoire de caler un petit creux. Après avoir fait mariner les oreilles de Fennec dans un grand plat avec un mélange d’épices, d’huile, de sel et de poivre, elles sont grillées à feu vif. On en trouve parfois dans certaines tavernes où elles sont servies en supplément de votre boisson pour patienter en attendant votre plat. C’est croustillant et très salé. Ce qui pousse bien entendu à la consommation, vous l’aurez compris. La maison est toujours gagnante !

Cobra en persillade :

Alors le cobra en persillade messieurs dames, c’est un plat très délicat. Si le cobra n’est pas trop gros et donc trop gras, bien frit dans l’huile bouillante avec sa petite persillade, c’est un véritable régal ! J’ai d’ailleurs eu la chance d’en voir quelque peu sa préparation. Avec une fine lame de couteau, le chef retire d’abord la peau de l’animal après lui avoir coupé la tête juste en dessous de la crête. Il coupe ensuite le corps en tronçon, le saupoudre de farine, le sale, le poivre, puis jette les tronçons dans l’huile bouillante. Quelques minutes de cuisson suffisent à avoir une chair tendre et savoureuse. La persillade est ajoutée juste avant de servir. Un délice !

Cuisse de Basilic de Dùralas :

Un nom un peu pompeux pour un plat somme toute banal. J’ai été quelque peu déçu du résultat finalement. Peut-être ai-je goûté cela dans un établissement un peu bas de gamme, car le goût n’avait rien d’exceptionnel, de même que son accompagnement à base de carottes et de pommes de terre. Cela avait vaguement le goût du poulet que l’on connaît en peut-être un peu plus faisandé… Bref. Je déconseille.

Fricassée de chauve-souris et son potage à la citrouille :

Et bien belle découverte gustative finalement. Bon. Je passe sur le potage à la citrouille qui n’a rien d’extraordinaire, mais la chauve-souris ce n’est pas mauvais du tout. Une fois bien passé sur la braise pour en retirer les poils et bien vidée, je dois admettre que j’ai fait un bon repas. Selon la taille, cela varie de une à dix chauves-souris dans une grosse assiette. La viande est plutôt coriace et il faut faire marcher les maxillaires, mais le goût, lui en revanche, est très fin !

Terrine de Talos :

Il n’a guère été aisé d’obtenir la préparation de la terrine de Talos et d’ailleurs mieux vaut ne pas savoir au final. Sachez juste que c’est à base de Talos donc, mais aussi d’alcool de venin de cobra géant, ce qui donne à cette terrine son goût piquant si particulier.

Cuisse d’Archéoptéryx :

Nous restons dans le dinosaure avec un petit mets délicat qu’est la cuisse d’Archéoptéryx. Servie accompagnée de petits champignons des jungles, son goût approche celui du crocodile. C’est délicat, ça fond dans la bouche et la viande est très tendre. Une cuisse de ce volatile n’est pas énorme, mais les petits champignons des jungles sont vraiment nutritifs et donc le repas reste consistant.

Tarte au Vautour de la savane :

Ce qui est intéressant avec ce plat, c’est que la pâte de la tarte est faite avec des œufs de vautours, puis le vautour est découpé en fine lamelle avant d’être fumée au bois d’acacia puis disposé en croisé dans le plat avec quelques bulbes de la savane. Cette tarte a donc un goût très particulier, mais vraiment divin. J’ai passé un très bon moment pendant ce repas mes chers amis !

Est de Dùralas et Perracie…

Court récit de mes expériences culinaires en Perracie…

Comme sans doute beaucoup de voyageurs le savent, la Perracie n’est pas franchement le lieu idéal pour manger et dormir… Mais le vieux voyageur que je suis à tout de même décidé d’y tenter l’expérience… Arrivé à la Taverne du Pendu, outre l’accueil plutôt comment dire… Froid ? De la part de cet honnête tenancier, je commande donc la spécialité locale sans me soucier de ce qu’il y a dedans, avide d’expériences culinaires ! L’assiette m’est servie claqué sur la table. Pas un bon appétit monsieur, rien ! Nada ! Que dalle ! Bref… Passons… Je regarde donc ce qu’on m’avait servi et là… Ben pas de surprise en fait… Une sorte de gruau dont se dégageait une odeur d’égouts… Je me dis : mon cher Gordon, à vaincre sans périls, on triomphe sans gloire… Et me voilà à me lancer dans la dégustation de ce fameux gruau nauséabond… Dès la première bouchée, un goût m’a attaqué les papilles. Un mélange d’œufs pourris et de viande avariée. J’appris plus tard que le plat que je venais de tenter de déguster (et que j’avais bien vite vomi) était en fait du warg ! Ils mangent du warg ces tarés là-bas ! Je veux bien que les ressources alimentaires soient limitées, mais de là à manger... ÇA ?! Mais taper un scandale à la taverne du pendu quand on sait que la majeure partie de la clientèle tout comme le tavernier est capable de vous trancher la gorge sur un coup de tête m’a fait réfléchir à deux fois. Et de plus, ce n’était pas mon jour, car je me suis aperçu après avoir quitté la taverne que j’avais malheureusement perdu ma bourse… Mais à cœur vaillant rien d’impossible ! Et mon voyage culinaire continuait !

Viande d’Aypars séchée :

Ce n’est pas vraiment le plat typique local, mais plus une ration de route en Perracie. Car en plus de bouffer des wargs, ils bouffent les volatiles que chevauchent les Perracks. La viande est séchée dans les caves après un long séjour dans le sel. La viande est légèrement caoutchouteuse et salée, mais il est vrai que c’est très pratique à transporter.

Cervelle de blangos :

Ah… La cervelle de Blangos… Ce plat est servi à même le crâne du Blangos. Le haut du crâne est scalpé et après cuisson le cerveau de Blangos et remit dans son crâne. Imaginez-vous une tête tranchée dans une assiette dont vous retirez le haut du crâne pour manger la cervelle. Cela demande un peu de courage et de passer outre le dégoût de la présentation… Mais le goût en lui-même n’est pas mauvais…

Sud de Dùralas

Plateau de la mer :

Il s’agit là d’un plateau composé d’huîtres de la baie, de conque, de Blergh et d’ochtonchire. Le tout déposé sur un lit d’algues colorées ce qui forme un magnifique ensemble. Le plat en lui-même a un petit goût iodé forcément et c’est très rafraîchissant. Attention cependant à ce que ces délices de la mer soient bien frais…

Bouillabaisse de la Baie :

C’est une sorte de soupe ou beaucoup de produits de la mer sont mélangés, hachés menu dont la recette est jalousement gardée par les locaux. Toutefois, j’ai tout de même réussi à en définir quelques ingrédients, tels que du Teeban, du requin renard, de la raie manta ou bien encore du rongeur d’os. Pour le reste, je n’ai pas encore réussi à percer tous les secrets de ce plat…


Auteur : Gordon Ramezey



Cette œuvre rapporte 50 points d'expérience, 1 coiffe Feuillue et 1 Dagu'd'Argnan à Alyena Ombrenuit
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